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Critique de Erveine


Il n'y a pas d'enfants du mal ! Il y a seulement des enfants. de même que le précepte : « les chiens ne font pas des chats » est non seulement inexact mais tellement handicapant quand vous avez à l'entendre à l'aube d'une vie. Il en va ainsi d'autres expédients les : « t'es bon à rien », « t'es comme ton père, ou comme ta mère » etc. Et ta soeur ! Si la famille manque à l'enfant adopté elle est tout autant défaillante pour bien des enfants légitimes qui vivent avec leurs pères et mères et, il n'est pas rare que la personnalité se construise de façon tout à fait satisfaisante totalement à l'écart du lien filial. Je ne saurais être trop objective dans cette lecture où je ne parviens pas à me positionner, si ce n'est comme simple observateur. Trop de cas peut-être. Capucine qui évolue dans le texte en personnage actif et réactif ne laisse pas à penser, sur-réagissant à chaque situation. Et Chris qui n'est pas pour elle un amour possible puisque ensemble, ils ont tissé dans une même toile des liens de frères et soeurs. Ils seraient très vite, un père et une mère chacun pour eux-mêmes ainsi enclins, tout à fait naturellement à se déconstruire en tant que tels, en leur foyer, pour s'ériger ailleurs en parfaite intégrité.
Je remercie l'auteur auquel j'apporte mon honnête et maigre contribution.
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