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Critique de PatrickBERNARD07
Séduit par la personnalité de l'auteur rencontré au hasard d'un salon, je me suis offert ce livre.
Bien m'en a pris!
Par sa plume alerte et spontanée, Jean-François Barbieri réussit le tour de force de nous introduire dans les enquêtes les plus graves avec humour et sagacité. Il nous en apprend sur la réalité du métier d'inspecteur de police d'investigation, ses enquêtes longues et minutieuses, l'importance des relations humaines avec les collègues, entre confiance et méfiance, la hiérarchie, la justice, le monde politique, et, bien sûr, les voyous dont les fameux indics.
Si l'on se doute que l'auteur ne peut pas tout dévoiler, le contenu qu'il met à disposition du lecteur est d'une telle richesse qu'on se régale tout en s'instruisant de la narration haletante de très grandes affaires dans lesquelles la drogue tient une grande place. Son témoignage nous permet de mesurer ce que la société, c'est-à-dire chacun de nous, doit à ces hommes et ces femmes qui, loin de toute publicité politico-commerciale, font en sorte de rendre la vie des voyous moins facile.
L'affaire Topaze est le point d'orgue de l'ouvrage, avec un final haletant digne des plus grands polars, mais bien réel celui-là.
On referme le livre en souhaitant que l'auteur nous gratifie d'une suite nous racontant son expérience de fin de carrière en Bolivie.
Je recommande.
Bien m'en a pris!
Par sa plume alerte et spontanée, Jean-François Barbieri réussit le tour de force de nous introduire dans les enquêtes les plus graves avec humour et sagacité. Il nous en apprend sur la réalité du métier d'inspecteur de police d'investigation, ses enquêtes longues et minutieuses, l'importance des relations humaines avec les collègues, entre confiance et méfiance, la hiérarchie, la justice, le monde politique, et, bien sûr, les voyous dont les fameux indics.
Si l'on se doute que l'auteur ne peut pas tout dévoiler, le contenu qu'il met à disposition du lecteur est d'une telle richesse qu'on se régale tout en s'instruisant de la narration haletante de très grandes affaires dans lesquelles la drogue tient une grande place. Son témoignage nous permet de mesurer ce que la société, c'est-à-dire chacun de nous, doit à ces hommes et ces femmes qui, loin de toute publicité politico-commerciale, font en sorte de rendre la vie des voyous moins facile.
L'affaire Topaze est le point d'orgue de l'ouvrage, avec un final haletant digne des plus grands polars, mais bien réel celui-là.
On referme le livre en souhaitant que l'auteur nous gratifie d'une suite nous racontant son expérience de fin de carrière en Bolivie.
Je recommande.
