Ce recueil de nouvelles commence par des contes fantastiques, mais plus on avance dans l'ouvrage, plus les intrigues s'imprègnent de l'horreur des guerres mondiales, tout en se colorant de science-fiction, pour finir en apothéose avec la nouvelle éponyme, Béni soit l'atome, et la destruction ultime. Cette dernière est la plus marquante, mais j'avoue avoir été touché par « Les mains d'Anicette » et son innocence émerveillée.
Très agréable et facile à lire, porté par une écriture fluide et un brin poétique, ce recueil se feuillette en un coup de vent. Il est une invitation à la réflexion sur la bêtise humaine, et à garder une âme d'enfant face à l'atrocité qu'elle engendre.
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