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Critique de aliasdam
Ce tome 2 poursuit le tome 1 est donne tout son sens Labyrinthus. Notre groupe de sauveurs de l'humanité décortique Phobos pour trouver le sens des pluies de cendres sur la planète Terre. Huis-clos en plein satellite extra-terrestre, cette nouvelle aventure a des airs d'Aliens. Moins abouti que Cendres, La machine est plus bavard, se perd avec de nombreux personnages qu'on ne reconnait pas derrière leurs casques d'astronautes. Des digressions mentales attrapent chaque personnage, qui leur donnent un aspect psychologique plus ou moins réussi. le final, plus lumineux que l'intégralité de ces deux tomes, offre de belles images. Mais pas assez. Christophe Bec préfère, à n'en pas douter, la noirceur.
