Quelques quarante années après la lecture de
Je craque, je retrouve
Guy Bedos dans ses Mémores d'outre-mère.
L' écriture est fluide, directe et sensible. Je retrouve l' humoriste, l'indigné infatigable contre le racisme et la beaufferie. L'homme qui voit partir ceux qu'il aime et se rapprocher la fin de la pièce.
Et l'ombre d'une mère terrible.
Commenter  J’apprécie         211