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Critique de janemar
Une enfant de 12 ans, Caitlin disparaît de chez elle, kidnapping, fugue, tout est possible. Mais durant quatre longues années, les recherches restent vaines et les parents meurtris essaient de "continuer à vivre" mais en prenant des orientations différentes. Pour Abby c'est le confort de la foi et de la religion, pour Tom c'est continuer à croire qu'elle reviendra et qu'il doit mener son enquête jusqu'au bout. Un simulacre d'enterrement, relance le drame. Caitlin réapparait mais refuse de faire condamner son "kidnappeur" dont elle est amoureuse et qu'elle veut rejoindre. le fameux syndrome de Stocklom qui persistera même après sa "libération";
C'est alors l'incompréhension du père, qui cherche à comprendre et à se venger, de celui qui lui a enlevé sa fille. Dans une obstination totale, il "enquête" parallèlement à la police et aussi semble-t-il pour se débarasser ou comprendre ce sentiment de culpabilité qui obstrue son imaginaire et son comportement et bien sûr, sa propre enfance remonte à la surface ; l'enfant mal aimé, battu, entre un beau père violent, une mère un peu absente et un demi-frère qui tout en le protégeant refuse son diktat.
Un bon polar, comme save les construire les américains, et pour un premier roman j'avoue que c'est bien mené, assez bien écrit, quoique en ce genre de littérature, à moins d'être un Stephen King, il est difficile de ne pas trop employer les dialogues;...
Un livre assez passionnant, que l'on ne lâche pas facilement, quoique comme le dit un des critiques de babelio, il semble que l'auteur se soit un peu essouflé sur la fin.... Et aussi, je pense que l'insistance de Tom à vouloir apprendre ce que sa fille a subi a quelque chose de malsain, et il reflète tout le mal être de cet homme.
C'est alors l'incompréhension du père, qui cherche à comprendre et à se venger, de celui qui lui a enlevé sa fille. Dans une obstination totale, il "enquête" parallèlement à la police et aussi semble-t-il pour se débarasser ou comprendre ce sentiment de culpabilité qui obstrue son imaginaire et son comportement et bien sûr, sa propre enfance remonte à la surface ; l'enfant mal aimé, battu, entre un beau père violent, une mère un peu absente et un demi-frère qui tout en le protégeant refuse son diktat.
Un bon polar, comme save les construire les américains, et pour un premier roman j'avoue que c'est bien mené, assez bien écrit, quoique en ce genre de littérature, à moins d'être un Stephen King, il est difficile de ne pas trop employer les dialogues;...
Un livre assez passionnant, que l'on ne lâche pas facilement, quoique comme le dit un des critiques de babelio, il semble que l'auteur se soit un peu essouflé sur la fin.... Et aussi, je pense que l'insistance de Tom à vouloir apprendre ce que sa fille a subi a quelque chose de malsain, et il reflète tout le mal être de cet homme.
