Que Tomas soit veuf, égoïste, brutal et mal dans sa peau ( j'aurais dû commencer pas là) n'explique pas la violence avec laquelle il fait de
Suiza sa femme.
Elle ,
Suiza, on la croit suisse et ici dans ce village de Galice on la prend pour une demeurée. Simplette mais attirante au possible. les hommes au bar de Ramon la reluquent et font de lourds commentaires.
C'est un roman étrange, fait de sensualité parfois brutale et très crue et d'une poésie remarquable.
Bénédicte Belpois pour ce premier roman signe un texte de qualité, que je n'oublierai pas de sitôt.
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