Konrad ambitionne depuis vingt ans d'écrire un traité sur l'ouïe, sans qu'il ait jeté la moindre ligne sur le papier ; son inhibition et l'état d'infirmité de sa femme le mènent à commettre l'irréparable en la tuant d'un coup de carabine, arme qu'elle gardait en permanence derrière son fauteuil roulant. On retrouve dans ce roman les contradictions et la même virulence des personnages, souvent en butte à des haines viscérales ; enfin une quête aussi obsessive — et aussi vaine que dans le roman
Corrections, postérieur de cinq ans, — organisée autour d'un lieu de claustration et de solitude.
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