Déconcertant par le style au premier abord puis on se rend compte petit à petit que
Hélène Bessette sous un air de ne pas y toucher avance ses mots et d'un mot à l'autre, d'un ton badin elle fait mouche et a la dent dure pour tous ces êtres superficiels, frivoles qui s'agitent dans le vide, virevoltent préoccupés avant tout d'eux-mêmes, snobs et méprisants. Mais ils se prennent à leur propre piège.
Merci à 270778 (
Marianne Desroziers) pour m'avoir donné envie de découvrir cette écrivain que je n'avais jamais lu.
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