Seconde incursion dans les romans de
Nicolas Beuglet, très longtemps après "
Le cri" (2018), et sans avoir lu le premier tome de la trilogie "Grace Campbell" (pas vraiment pénalisant, ça va...).
Finalement, "
le passager sans visage" (jolie couverture dans sa version poche) me laisse un peu le même sentiment que "
Le cri". C'est un honnête page turner, divertissant. Faut juste accepter l'absence de crédibilité de l'intrigue, la trame de fond un brin complotiste, les rebondissements assez abracadabrantesques, les quelques longueurs, l'aspect sordide de certains développements... si vous dépassez tout cela, vous passez un moment de lecture plutôt plaisant. Sans que ce récit ne reste dans les annales bien entendu...
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