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Grace Campbell tome 2 sur 3
EAN : 9782374483610
366 pages
XO Editions (16/09/2021)
  Existe en édition audio
3.85/5   1676 notes
Résumé :
"Tu n'es pas seule à chercher"...

Ce mot anonyme laissé sur son paillasson est plus qu'un appel : un électrochoc. Cette fois, l'inspectrice Grace Campbell le sait, elle n'a pas le choix. Elle doit ouvrir la porte blindée du cabinet situé au fond de son appartement. Et accepter de se confronter au secret qui la hante depuis tant d'années...

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Critiques, Analyses et Avis (259) Voir plus Ajouter une critique
3,85

sur 1676 notes
Spolions un peu : le dernier Nicolas Beuglet parle d'un complot. Quoi ? C'est le cas de tous ses livres ? Ah oui, tiens…

Et ce complot il est bien ? Bien complotiste ? Ah que oui, à deux cent pourcent.

Est-ce bien écrit ? Prenant ? Pas vraiment. Non.

J'ajouterai des brouettes d'invraisemblances, un début qui s'étale sans rythme (j'ai failli abandonner à plus d'une reprise), des scènes risibles (la rencontre avec un ancien sauveur de Grace Campbell dans une cabane de conte de fée au fond des bois...), une énorme dose de « on nous ment – tous pourri », des personnages qui basculent d'un extrême à l'autre (pour les besoins de l'intrigue ? Où est la logique de leur personnalité ?)…

J'oubliais un point positif : la couverture est très réussie.
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Je remercie énormément XO Editions pour l'envoi, via net galley, de le passager sans visage de Nicolas Beuglet.
Petite précision : il est préférable de lire auparavant le dernier message, car on retrouve ici Grace et c'est la suite directe.
" Tu n'es pas seule à chercher "...
Ce mot anonyme laissé sur son paillasson est plus qu'un appel : un électrochoc.
Cette fois, l'inspectrice Grace Campbell le sait, elle n'a pas le choix. Elle doit ouvrir la porte blindée du cabinet situé au fond de son appartement. Et accepter de se confronter au secret qui la hante depuis tant d'années...
Des confins de la campagne écossaise aux profondeurs de la Forêt-noire où prend vie le conte le plus glaçant de notre enfance, jamais Grace n'aurait pu imaginer monter dans ce train surgi de nulle part et affronter le Passager sans visage...
Ce thriller est un vrai page-turner, une fois commencé j'ai eu beaucoup de mal à le quitter pour aller travailler, manger ou dormir.
Ayant encore bien le dernier message en tête, je n'ai eu aucun problème à me plonger dans le passager sans visage.
Je savais que Grace avait eu un passé compliqué, que de nombreuses zones d'ombre subsistaient mais je n'imaginais pas à quel point c'était ! Il est impossible d'imaginer un seul instant ce que cette femme a vécue. Cela fait froid dans le dos, et j'ai compris pourquoi elle a préféré verrouiller certains souvenirs plutôt que les affronter.
C'est un roman très complexe qui nous fait voyager, notamment à Hamelin avec un conte qui a fait frémir beaucoup d'entre nous.
C'est basé sur des faits réels. Par moment, ça fait vraiment peur car la fiction et la réalité s'entremêlent tellement qu'il est difficile de voir le faux du vrai. J'ai parfois eu quelques doutes. C'est d'ailleurs ce qui fait la force de ce roman.
Bravo à Nicolas Beuglet pour son travail de recherche, il sait où il va et nous embarque totalement avec lui. Une fois de plus, il m'a bluffé.
J'ai adoré le personnage de Grace, elle a de plus en plus de consistance. Elle m'a épaté et j'ai hâte de lire la suite de ses aventures. Cela va être long de devoir attendre un an !
L'histoire est très bien ficelée, il y a énormément de suspense, de surprises.
Bref, vous l'avez compris le passager sans visage est un excellent thriller que je vous recommande sans aucune hésitation.
Ma note : un énorme cinq étoiles.




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Où l'on prendra connaissance du secret de Grâce Campbell dans une enquête qui mêle famille et complot de grande envergure. D'indice en indice et de rebondissement en rebondissement, notre inspectrice nous emmène en Allemagne, dans la célèbre ville d'Hamelin puis en forêt noire. de la surprise, beaucoup de surprise dans ce volet, beaucoup d'action, beaucoup de suspense.

Le roman commence par une lettre déposée par un inconnu, et qui invite Grâce à se lancer dans une recherche la concernant. Cette fois, la policière est bien actrice, elle n'est plus transportée au gré du vent par des personnes qui décident à sa place, elle nous emmène avec elle dans son enquête anxiogène, d'autant plus anxiogène que l'on y voit des légendes se transformer en fait avéré et l'exploitation de la société par le progrès technologique. Si cette dernière thématique ne faisait pas l'objet d'une enquête, ce thriller se muterait allègrement en dystopie.

Quand au passager sans visage, il ne dévoile que par petite touche dans la deuxième moitié du roman. Je n'en dirai pas plus.

J'ai beaucoup aimé ce deuxième tome, et il m'a amenée, en raison de la surprise finale, à me jeter sur le troisième tome. Facétie de l'auteur sans aucun doute.
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Ceux qui connaissent les écrits de Nicolas Beuglet savent qu'il s'appuie toujours sur des faits réels pour construire ses romans. Pour ceux qui l'ignorent, Nicolas Beuglet se base toujours sur des faits réels pour construire ses romans. J'insiste aussi lourdement parce que, lorsque vous décidez de vous plonger dans l'un de ses récits, vous savez qu'au bout de la chaîne, il y a une thématique ou un fait divers dont il va vous parler et dont vous ignorez l'existence. C'est à mon sens, sa marque de fabrique qui le rend un peu différent des autres écrivains de thrillers et qui vous incite, instinctivement, à bien regarder où vous mettez les pieds en avançant dans la lecture. Il ne va pas vous parler de chat disparu de mémé Lucette, même si c'est sûrement un fait divers avéré. Non, il va creuser un peu plus profondément, impliqué qu'il est par les problématiques de notre monde. Je vous renvoie par exemple à sa nouvelle « Ça n'arrivera pas » pour vous faire une idée de ses préoccupations…

« Le passager sans visage » est le tome 2 de la série mettant en scène Grace que le lecteur a découvert dans « Le dernier message ». Nous faisions alors la connaissance de cette nouvelle héroïne, plus fragile que Sarah Geringën (voir la trilogie précédente, « Le cri », « Complot », « L'île du diable »), en quête de réhabilitation professionnelle. Nous l'avons laissée dans son appartement, face à une porte blindée qui cachait un lourd secret, mais plus sûre d'elle, ayant réussi à résoudre l'affaire qui lui avait été confiée. Si vous n'avez pas lu le tome 1, sachez que vous pouvez tout à fait lire celui-ci indépendamment (l'auteur vous en fait un petit résumé sans spoil en préambule). Sachez simplement que Grace se retrouve confrontée à cette porte, métaphoriquement à son passé, et qu'il lui appartiendra de l'ouvrir ou pas.

Lorsqu'un mystérieux message est déposé sur son palier, Grace sait qu'elle n'a désormais plus le choix : elle va devoir ouvrir la porte de son passé. Si « Le dernier message » était davantage un roman d'ambiance où le lecteur apprenait peu de choses sur cette nouvelle héroïne, « Le passager sans visage » est complètement axé sur le personnage de Grace. C'est elle qui fait avancer le roman, c'est elle qui provoque cette nouvelle enquête sur sa vie personnelle. Nicolas Beuglet nous offre le privilège d'en découvrir un peu plus sur elle. Je peux vous dire que vous n'allez pas être déçus ! le voyage est long, peuplé de personnages terrifiants et de souvenirs effroyables. « Tu sais très bien où commence le chemin de la vérité. » Grace repart donc sur les traces de son enfance, dans un petit village du nom de Kirkcowan. Celle qui se réfugiait dans la nourriture pour panser ses plaies est maintenant capable d'affronter la réalité en face.

Je ne vous dirais rien de l'enquête. Même si l'on suppute certaines choses, la réalité est plus glaçante encore. La construction de Grace, faite comme chaque être humain, des souvenirs d'enfance et des épreuves traversées est clairement mise en avant. le lecteur se retrouve donc d'emblée en totale empathie avec elle, impossible de ne pas l'être. L'avancée de son enquête sur les premières années de son existence va l'amener au « pays des contes ». Ces contes de fées que l'on raconte aux enfants pour les endormir sont bien plus terrifiants qu'ils n'y paraissent de prime abord, surtout lorsqu'on les redécouvre avec des yeux d'adulte. C'est exactement ce que Nicolas Beuglet entreprend dans ce récit : un savant mélange de réalité et de fiction avec comme point d'ancrage le fondu de l'une dans l'autre. Quelles sont les significations de ces contes, qui sont réellement ces personnages qui les peuplent ? En ajoutant cette touche d'onirisme, l'écrivain a immédiatement capté mon attention. Je connaissais très bien le conte dont il parle, je l'ai même raconté à mes enfants (comme vous peut-être), mais lorsqu'il est associé à un fait divers glaçant, monstrueux, et barbare, le sang du lecteur se glace. Comme d'habitude, j'ai enquêté sur les propos de Nicolas Beuglet, comme d'habitude j'ai trouvé en ligne les faits qu'il développe. Plus épouvantable encore, je n'en avais jamais entendu parler… Je crois que c'est cela qui a fait jaillir une sorte de terreur en moi, découvrant encore si besoin en est, que l'humain ne manque pas d'inhumanité. Les thématiques que l'auteur développe sont nombreuses, comme dans chacun de ses romans et il est difficile d'en parler sans spoiler le récit. Je peux simplement dire qu'il est concerné par les problématiques de son époque, notamment par toutes les nouvelles technologies qui envahissent notre quotidien, et par les informations lancées à tout va, type « fake news » qui ne sont destinées qu'à entretenir la peur, l'inquiétude, et la phobie toutes véhiculées par les news dont nous nous abreuvons jusqu'à la régurgitation. Les idées qu'il développe en fin de roman, par l'intermédiaire d'un personnage, ont une curieuse résonance… car intuitivement, je sentais qu'il avait raison sur plusieurs points et qu'en 2021, savoir réfléchir, analyser, vérifier en consultant plusieurs sources devient extrêmement rare.

Alors, Nicolas Beuglet est-il un lanceur d'alerte ? Chacun répondra à cette question en son âme et conscience. Une chose est sûre, il manie avec talent le plaisir de lecture et la réflexion. Il est impossible de sortir d'un de ses romans sans qu'une idée ou une citation continue à travailler en tâche de fond dans votre cerveau, sans avoir envie d'en savoir plus, et de consulter la bibliographie en fin de récit. J'ai aimé la rhétorique des propos des « illuminés » qui peuplent ces pages, le fait de me tromper sur certains personnages, d'être attendrie par d'autres, de découvrir le passé de Grace qui devient sacrément attachante, et aussi, la fin, la toute dernière ligne qui m'a donné envie de frapper l'auteur tant je trépigne de lire de tome 3.

« Le passager sans visage » est pour moi un excellent cru. J'ai pris un plaisir immense à le lire, entre jubilation et terreur certes, mais un immense plaisir tout de même. Personnellement, je sens dans l'écriture de Nicolas Beuglet la volonté de transmettre, l'envie de développer des sujets qui moi aussi me préoccupent. Sous couvert de polars, il s'emploie à interroger, mettre en lumière, remettre en cause, faire réfléchir et cela rend ses écrits bien plus profonds qu'un « thriller » qui n'existerait que pour divertir. C'est mal le connaître… Ce que vous devez retenir ? Excellent cru !

Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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Vous n'avez pas peur des contes de fées ? Vous devriez…

Vous avez encore foi en l'être humain ? Elle risque de s'éteindre pour de bon…

Le passager sans visage est donc le deuxième roman de ce qui est appelé à être une trilogie autour du personnage de l'inspectrice écossaise Grace Campbell.

Une nouvelle aventure où Nicolas Beuglet sème des petits cailloux pour nous faire remontrer la trace d'une organisation aux sinistres intentions.

Même s'il se lit bien individuellement, je ne peux que vous conseiller au préalable le dernier message, pour bien cerner le personnage principal. Surtout que Grace Campbell est au coeur de cette intrigue, elle en est le sang qui irrigue ces pages, qui actionne la pompe d'une intrigue dont la dimension dépasse l'imagination.

En cinq romans, Beuglet est devenu une référence en matière de thrillers. Parce qu'il sait jouer avec les codes du genre, rythme, émotions, rebondissements, chapitres courts, dialogues percutants. Mais aussi parce qu'il s'appuie toujours sur des faits réels qui, outre l'aspect ludique, font réfléchir et regarder le monde autrement.

Ce nouveau livre est la preuve qu'il est possible de creuser encore plus profondément dans la noirceur, et dans ce que l'Homme peut faire de pire. Et pourtant, le début pourrait laisser imaginer que le sujet traité est usé jusqu'à la corde par tant de thrillers avant lui.

Mais ce serait mal connaître l'écrivain que de penser que son histoire ne va pas s'élever vers des sommets de terreur, de surprises et de stupeur. Jusqu'à proposer une approche inédite.

D'ailleurs, il n'y a pas qu'une seule thématique, mais plusieurs qui s'imbriquent, pour tisser une toile gigantesque, toujours plus démesurée.

L'auteur met en avant, et en scène, une théorie insoupçonnée et un fait réel peu connu. Un conte qui devient encore plus inquiétant après avoir découvert où l'enquête sur son origine a amené Beuglet. C'est proprement incroyable, passionnant (et flippant) !

La réalité écoeurante qui se dévoile ensuite donne envie de hurler. Surtout face à l'incompréhension de comment un tel scandale peut ne pas être connu du monde entier. L'auteur donne quelques clés qui peuvent l'expliquer. Et n'hésite pas à frapper de grands coups de pied dans la fourmilière.

L'écrivain à l'habileté de faire différent, de proposer une construction et une approche autre que dans son précédent roman. Même si les deux livres sont intimement liés et s'intègrent dans un Grand Tout.

Quant à ce qui amorce le final, voilà qui fournit de quoi bien cogiter une fois la dernière page tournée, même si l'approche est un brin manichéenne.

Nicolas Beuglet donne un visage aux pires maux de nos sociétés actuelles. 360 pages sans temps mort, qui se lisent à vitesse grand V. le passager sans visage est un nouveau thriller qui pousse son lecteur à bout, l'emporte dans son élan et le fait trébucher sur les horreurs du monde passé, présent et futur.

Pour mieux se relever en attendant la suite des aventures de Grace Campbell, et surtout les nouveaux sujets de réflexion que l'auteur nous enverra en pleine face. Un livre de Nicolas Beuglet n'est jamais un voyage de tout repos.
Lien : https://gruznamur.com/2021/0..
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Citations et extraits (77) Voir plus Ajouter une citation
Mesdames et Messieurs, voilà donc le récit qui doit résonner dans la tête des humains de zéro à cent ans sur toute la planète, et par-dessus tout en Occident : vous allez mourir parce que vous polluez trop, sauf si vous achetez notre voiture électrique. Vous allez mourir parce que la crise économique va vous ruiner, sauf si vous nous donnez de l’argent pour sauver nos banques. Vous allez mourir parce qu’il y aura plus d’eau sur terre, sauf si elle nous appartient et que nous gérions durablement. Vous allez mourir d’une attaque terroriste parce que les logiciels de reconnaissance faciale que nous développons ne sont pas assez répondus dans votre ville. Vous allez mourir de la montée des océans si vous n’êtes pas propriétaire d’un appartement dans nos résidences protégées en altitude. Vous allez mourir parce que la violence augmente, sauf si vous vous procurez nos armes. Vous allez mourir parce que les hôpitaux sont pleins et qu’ils ne pourront plus vous accueillir en urgence, sauf si vous avez contracté notre abonnement dans nos cliniques privées. Vous allez mourir parce que le monde est déprimant et vous donne envie chaque matin de vous suicider, sauf si vous prenez notre nouvelle génération d’antidépresseurs. Vous allez mourir parce que la nourriture est empoisonné, sauf si vous achetez nos médicaments antipesticides. Vous allez mourir parce que vous allez devoir donner votre maison et les trois quarts de vos revenus à l’État pour rembourser la dette de votre pays, sauf si vous avez souscrit à notre toute dernière assurance misère. Vous allez mourir parce que la guerre nucléaire est inévitable, sauf si vous consentez à vivre sous terre dans nos abri antiatomique. Vous allez mourir parce que vous n’aurez pas notre technologie de pointe capable d’analyser votre état de santé en temps réel. Vous allez mourrir…
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À cette heure, dans l’immeuble, Grace était généralement la seule levée.
Elle pensa au chat qui aurait trouvé un moyen de pénétrer dans le bâtiment, mais la plainte des lattes avait été provoquée par un pas bien plus lourd.
La jeune femme s’approcha discrètement de la porte d’entrée.
L’œilleton ne lui révéla qu’un couloir vide. Elle déverrouilla la serrure et ouvrit. Personne. Mais sur le seuil se trouvait une enveloppe.
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Et si le joueur de flûte de Hamelin avait été l’initiateur d’une communauté, d’une secte même, qui avait célébré son acte diabolique au cours des siècles ? Abasourdie par sa découverte, Grace relâcha la main qui soutenait sa torche. Elle eut alors la confirmation que les adeptes de ce monstre du Moyen Âge ne s’étaient pas contentés de commémorer son crime, lorsque le faisceau glissa sur la partie basse de la paroi, dévoilant cinq petits squelettes, les bras attachés au-dessus de leur crâne par des chaînes et des anneaux fixés dans la roche. Cinq squelettes d’enfants, à première vue bien plus contemporains que ceux derrière la porte.
Grace avait du mal à respirer. Elle voulait quitter cette chambre des supplices, retrouver l’air du dehors.
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La sécurité doit devenir la religion des individus, celle pour laquelle ils renonceront à tout le reste. Cette envie de protection doit s’infiltrer partout. Elle doit devenir si impérieuse, si nécessaire que la liberté sera perçue comme un luxe que l’on ne peut malheureusement plus s’offrir !
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- Aurai-je besoin d'un carton d'invitation, d'un badge ?
Gabriel ricana.
- S'il y a bien un endroit où la reconnaissance faciale a été mise en place, c'est chez Olympe. Vous n'aurez besoin de rien d'autre que vous. A part peut-être une chose.
- Quoi ?
- Une tenue de gala.
La dernière fois que Grace avait enfilé une robe, elle devait avoir huit ans, et c'était pour un déguisement de carnaval.
- C'est obligatoire ?
- C'est plus une tradition. Cela vous permettra de vous fondre dans la masse.
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