Le passager sans visage

Nul. Tous les poncifs du polar actuel, rien de nouveau. Intrigue invraisemblable, récit très bavard : les méchants font de grands discours. Aucun réalisme, ni dans les actions, ni dans la psychologie des personnages. Un homme n'est plus un clone s'il a conscience de l'être et en souffre, non ?
Usage de la langue française très approximatif : adjectifs, images, comparaisons absurdes, beaucoup de phrases ridicules.
Mais, sans doute, tout ce qu'il faut pour plaire aux masses populaires : pédophilie, homosexualité, non-genritude, un peu d'écologie, anti-capitalisme, etc.
Heureusement, court.