Au départ, l'histoire est tirée par les cheveux, les situations sont bourrées de coïncidences, les personnages n'ont aucune envergure et les dialogues sonnent creux, mais allez savoir pourquoi, on tourne les pages sans déplaisir, car l'auteur sait entretenir le mystère. Passé les cent premières pages, le roman verse dans le glauque et le dérangeant, on ne peut se défaire de ce sentiment de malaise grandissant au fur et à mesure de la lecture. Ajoutez à cela un soupçon de chamanisme et une fin grotesque, et vous aurez le sentiment d'avoir perdu votre temps, tout comme moi !
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