Tous les commencements sont beaux. Il faut tenir...
Amochée. Voilà le mot qui me va comme un gant, le mot convenable pour une comparaison affûtée entre le visible et le caché. C'est de l'intérieur que je suis amochée, songea Camille et je ne sais même plus pourquoi.
Je me souviens de vous, elle est sans fin, l'absence.
Au bout de ton errance, te souviens-tu de nous ?
Je me souviens de toi, ton sourire m'égare,
J'ai rompu les amarres, je ne cherche que toi...
Il faut que je les écoute parler de moi. Il faut aussi que je leur parle d'eux. Tout s'apprend. Tout s'échange.