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Critique de Oza
Ce livre raconte la séparation entre les blancs (les nihils) et les noirs (les primats). Il se passe exactement la même chose qu'aux Etats-Unis pendant la ségrégation mais ce sont les noirs qui ont pris le pouvoir sur les blancs.
Mais deux adolescents de race différente s'y opposent. Callum, un nihil, intègre la Milice de la Libération, l'équivalent des Black Panthers.
C'était intéressant que les rôles soient inversés, ça permet d'aborder la séparation des races en s'inspirant de faits réels (les Black Panthers sont remplacés par la Milice de la Libération, les attentats commis...).
Je l'ai trouvé touchant car ce livre raconte aussi la lutte que mènent un nihil et une primat (Sephie et Callum), qui s'aiment mais que tout oppose (leur famille, leur lieu de vie, leur éducation...), pour rapprocher les deux races. L'auteur a su allier une histoire d'amour impossible à un scénario haletant où les héros doivent faire des choix.On se rend bien compte des actes violents que menaient les groupes extrémistes des deux camps (kidnapping, attentat, terrorisme...).
Mais deux adolescents de race différente s'y opposent. Callum, un nihil, intègre la Milice de la Libération, l'équivalent des Black Panthers.
C'était intéressant que les rôles soient inversés, ça permet d'aborder la séparation des races en s'inspirant de faits réels (les Black Panthers sont remplacés par la Milice de la Libération, les attentats commis...).
Je l'ai trouvé touchant car ce livre raconte aussi la lutte que mènent un nihil et une primat (Sephie et Callum), qui s'aiment mais que tout oppose (leur famille, leur lieu de vie, leur éducation...), pour rapprocher les deux races. L'auteur a su allier une histoire d'amour impossible à un scénario haletant où les héros doivent faire des choix.On se rend bien compte des actes violents que menaient les groupes extrémistes des deux camps (kidnapping, attentat, terrorisme...).
