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Critique de BurjBabil
Petit recueil très souriant.
Entre les citations de F. Blanche et les dessins de Cabu, c'est un pan de notre culture de comique populaire que l'on retrouve.
Le plus intéressant est sans doute l'avant-propos d'Arlette Rebora, la "mère de ses enfants" selon la dénomination consacrée par ce polygame assumé. On y découvre quelques pages qui peuvent éclairer le personnage pour des non spécialistes de l'artiste.
La suite, divisée en plusieurs thèmes, nous permet de retrouver des pensées, des répliques, des canulars téléphoniques, et bien sur en filigrane sa complicité avec P. Dac pour "Signé Furax ! " et quelques répliques de sketchs de Sâr Rabindranath Duval...
On prend conscience au fil des pages de l'énorme liberté de ton, d'un "esprit de l'époque" sensiblement différent d'aujourd'hui.
Une piqûre de rappel salvatrice.
Entre les citations de F. Blanche et les dessins de Cabu, c'est un pan de notre culture de comique populaire que l'on retrouve.
Le plus intéressant est sans doute l'avant-propos d'Arlette Rebora, la "mère de ses enfants" selon la dénomination consacrée par ce polygame assumé. On y découvre quelques pages qui peuvent éclairer le personnage pour des non spécialistes de l'artiste.
La suite, divisée en plusieurs thèmes, nous permet de retrouver des pensées, des répliques, des canulars téléphoniques, et bien sur en filigrane sa complicité avec P. Dac pour "Signé Furax ! " et quelques répliques de sketchs de Sâr Rabindranath Duval...
On prend conscience au fil des pages de l'énorme liberté de ton, d'un "esprit de l'époque" sensiblement différent d'aujourd'hui.
Une piqûre de rappel salvatrice.
