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Critique de CzarnyPies
"La femme d'Arnaud vient de mourir" de Marc Blancplain, publié en 1958, ressemble énormément au "Jardin des Finzi-Contini" de Giorgio Bassani publié quatre ans plus tard. Ceux qui ont aimé le roman de Bassani vont possiblement aimé celui de Blancpain. Il faut comprendre que "La femme d'Arnaud" est loin d'être un chef-d'oeuvre comme "Le Jardin des Finzi-Contini".
Les deux romans on un narrateur-protagoniste qui a une obsession amoureuse pour une femme qui lui est interdit parce la femme appartient à une classe sociale plus élevée. Nés dans l'enfance l'amour pour la femme inaccessible dureront pour toute les vies des deux héros. Même après les mortes des femmes, les deux hommes seront incapable de devenir amoureux avec d'autres. Les deux hommes vont vivres leur amours dans le contexte de la deuxième grande guerre mondiale. le protagoniste de Blancpain sera prisonnier des allemands pendant plus de deux ans. le protagoniste de Bassani verra la femme qu'il aime et sa famille mourir de dans un camp de concentration.
Dans des deux roman, un lien existe entre le narrateur-protagoniste et la femme qu'il adore. Dans le cas de "La femme d'Arnaud", le grand-père aristocrate de l'héroïne avait fait la guerre avec le grand-père paysan du protagoniste et avait accordé aux membres de la famille paysanne de droit d'appeler les aristocrates des cousins. Dans le cas du "Jardin Finzi-Contini" le lien vient du fait que les deux familles sont juives dans un temps de persécution. Malgré les lien superficiels, les deux barrières demeurent infranchissables. Chez Bassani, le problème est que le protagoniste est inférieur aussi sur le plan de caractère moral. Chez Blancpain, le problème est que le mari de la femme qu'aime le protagoniste est plus rusé que lui.
L'héros de Blancpain est finalement un type parfaitement abject. Il n'est pas capable d'aimer une femme. Il fait des amies des individus qui lui peuvent être utiles dans sa démarche de s'approcher de la femme adorée mais il ne fait jamais le moindre sacrifice pour un de ses amis. Il faut avouer que j'ai trouvé le protagoniste de Bassani plus sympathique. Il est loyal envers ses amis. Plus important, il comprend que la seule tragédie est la mort de son aimée et de sa famille aux mains de nazis. Il est toujours déçu que pendant sa brève vie elle a choisi d'aimer un autre, mais son devoir est d'accepter sa choix.
Ce qui m'a dérange le plus chez le protagoniste de Blancpain, c'est qu'après avoir séduit la mère il fait la même chose avec la fille quinze ans plus tard. C'est très difficile d'avoir pitié d'un personnage comme demande l'auteur quand ce même personnage fait des choses aussi abominables. Blancpain a des moments de lucidité mais des fois il est incapable de comprendre comment le lecteur vais voir les choses qu'il raconte.
La femme d'Arnaud vient de mourir" a bien des choses en commun avec "Jardin des Finzi-Contini." Pourtant il n'y a rien qui indique que Bassani a lu le roman de Blancpain avant d'écrire le sien. C'est que deux écrivains par voies différentes sont arrivés à la même conclusion; c'est à dire que la Deuxième Grande Guerre a tué bien des gens et a fait rater la vie amoureuse à d'autres. le roman de Bassani est un grand chef-d'oeuvre. Celui de Blancpain est minable
Les deux romans on un narrateur-protagoniste qui a une obsession amoureuse pour une femme qui lui est interdit parce la femme appartient à une classe sociale plus élevée. Nés dans l'enfance l'amour pour la femme inaccessible dureront pour toute les vies des deux héros. Même après les mortes des femmes, les deux hommes seront incapable de devenir amoureux avec d'autres. Les deux hommes vont vivres leur amours dans le contexte de la deuxième grande guerre mondiale. le protagoniste de Blancpain sera prisonnier des allemands pendant plus de deux ans. le protagoniste de Bassani verra la femme qu'il aime et sa famille mourir de dans un camp de concentration.
Dans des deux roman, un lien existe entre le narrateur-protagoniste et la femme qu'il adore. Dans le cas de "La femme d'Arnaud", le grand-père aristocrate de l'héroïne avait fait la guerre avec le grand-père paysan du protagoniste et avait accordé aux membres de la famille paysanne de droit d'appeler les aristocrates des cousins. Dans le cas du "Jardin Finzi-Contini" le lien vient du fait que les deux familles sont juives dans un temps de persécution. Malgré les lien superficiels, les deux barrières demeurent infranchissables. Chez Bassani, le problème est que le protagoniste est inférieur aussi sur le plan de caractère moral. Chez Blancpain, le problème est que le mari de la femme qu'aime le protagoniste est plus rusé que lui.
L'héros de Blancpain est finalement un type parfaitement abject. Il n'est pas capable d'aimer une femme. Il fait des amies des individus qui lui peuvent être utiles dans sa démarche de s'approcher de la femme adorée mais il ne fait jamais le moindre sacrifice pour un de ses amis. Il faut avouer que j'ai trouvé le protagoniste de Bassani plus sympathique. Il est loyal envers ses amis. Plus important, il comprend que la seule tragédie est la mort de son aimée et de sa famille aux mains de nazis. Il est toujours déçu que pendant sa brève vie elle a choisi d'aimer un autre, mais son devoir est d'accepter sa choix.
Ce qui m'a dérange le plus chez le protagoniste de Blancpain, c'est qu'après avoir séduit la mère il fait la même chose avec la fille quinze ans plus tard. C'est très difficile d'avoir pitié d'un personnage comme demande l'auteur quand ce même personnage fait des choses aussi abominables. Blancpain a des moments de lucidité mais des fois il est incapable de comprendre comment le lecteur vais voir les choses qu'il raconte.
La femme d'Arnaud vient de mourir" a bien des choses en commun avec "Jardin des Finzi-Contini." Pourtant il n'y a rien qui indique que Bassani a lu le roman de Blancpain avant d'écrire le sien. C'est que deux écrivains par voies différentes sont arrivés à la même conclusion; c'est à dire que la Deuxième Grande Guerre a tué bien des gens et a fait rater la vie amoureuse à d'autres. le roman de Bassani est un grand chef-d'oeuvre. Celui de Blancpain est minable
