Une édition très bien documentée et réalisée avec le plus grand soin, qui complète fort bien ma lecture des «
Coeurs cicatrisés » dans la traduction de
Gabrielle Danoux.
J'avais lu dans «
Corps transparent » le poème que Blecher dédie à Minet, mais je ne connaissais pas cet auteur. Dans l'univers sombre de Berck, où la maladie est omniprésente, Blecher parvient à trouver de la joie dans le travail littéraire (cf. p. 9). Voilà qui illumine sa vie.
Bravo à
Billy Dranty d'avoir publié cette correspondance, alors que l'intérêt pour les auteurs roumains reste marginal, à mon avis.
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