Avec Antactique,
Olivier Bleys nous offre un improbable huis-clos dans une station de recherche soviétique, entre polar et humour noir.
L'auteur sait mettre en relief l'absurdité du système soviétique pour inventer une histoire loufoque, laquelle se prêterait peut-être mieux au cinéma qu'à la littérature. Par instants, on songe d'ailleurs à la tempête et aux personnages de la Ruée vers l'Or, de Chaplin.
Un roman sans prétention, pas désagréable, mais vite lu et probablement vite oublié.
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