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Critique de PG35
Je me méfie toujours, à tort ou à raison, des auteurs français de polars qui ne savent pas de quoi ils parlent. Ce n'est pas le cas de celui-ci, qui réussit à nous accrocher avec une histoire plutôt tordue.
Ça démarre assez fort, avec une séance de torture impressionnante. On passe ensuite à des journaux intimes, des témoignages, des rapports de police. Bocquet s'est documenté sur la procédure pénale et cet aspect du livre est parfaitement crédible. Une demi-douzaine de protagonistes, plus ou moins réussis, animent l'intrigue. Leurs motivations sont parfois tortueuses. La stagiaire et le lieutenant de police sont attachants, le couple homo maire-commandant paraît plus improbable.
Au final, Bocquet réussit à tenir son lecteur en haleine et les dernières pages, un peu téléphonées, sont malgré tout captivantes. Mais pourquoi Fontainebleau ?
Ça démarre assez fort, avec une séance de torture impressionnante. On passe ensuite à des journaux intimes, des témoignages, des rapports de police. Bocquet s'est documenté sur la procédure pénale et cet aspect du livre est parfaitement crédible. Une demi-douzaine de protagonistes, plus ou moins réussis, animent l'intrigue. Leurs motivations sont parfois tortueuses. La stagiaire et le lieutenant de police sont attachants, le couple homo maire-commandant paraît plus improbable.
Au final, Bocquet réussit à tenir son lecteur en haleine et les dernières pages, un peu téléphonées, sont malgré tout captivantes. Mais pourquoi Fontainebleau ?
