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Critique de MDO
Avec Les sales bêtes, ont retrouve un peu l'esprit d'un autre livre, le livre du caca, de Nicola Davies, chez Milan également : sous des apparences trompeuses (illustrations style BD, dialogues loufoques, situations amusantes…) se trouve un contenu documentaire riche et surtout extrêmement bien structuré.
Ici, les petites bestioles (celles qui piquent, démangent, effraient…) partent en guerre contre les idées reçues qui font que nous, « balourds d'homo-sapiens », n'avons qu'une idée en tête, les exterminer. Les arthropodes comptent dans leurs rangs 13 espèces (hormis les crustacés, taxés de « faux-frères » car eux, nous les apprécions) qui vont chacune leur tout prendre la parole avec un humour souvent caustique. Les pages finales se veulent ludiques, avec la présence d'un quizz, mais aussi une amorce de réflexion sur le thème de l'écologie : pour elle, les sales bêtes, ça ne serait pas plutôt nous, qui polluons l'atmosphère à grand renfort d'insecticides et autres pesticides ?
Ici, les petites bestioles (celles qui piquent, démangent, effraient…) partent en guerre contre les idées reçues qui font que nous, « balourds d'homo-sapiens », n'avons qu'une idée en tête, les exterminer. Les arthropodes comptent dans leurs rangs 13 espèces (hormis les crustacés, taxés de « faux-frères » car eux, nous les apprécions) qui vont chacune leur tout prendre la parole avec un humour souvent caustique. Les pages finales se veulent ludiques, avec la présence d'un quizz, mais aussi une amorce de réflexion sur le thème de l'écologie : pour elle, les sales bêtes, ça ne serait pas plutôt nous, qui polluons l'atmosphère à grand renfort d'insecticides et autres pesticides ?
