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Critique de IreneAdler
Esther, 16 ans, est insomniaque. Depuis sa naissance. Elle vit dans un pays sous la coupe d'un dictateur, qui interdit l'impression de livres. Elle découvrira bientôt que son insomnie est un don.
Bon, le scénario est convenue : les livres sont interdits car porteurs d'espoir et notre jeune héroïne a un don et l'inspiration nécessaires pour en écrire (nous n'en connaîtrons jamais le contenu. Et une mère imprimeuse (qu'elle ne mettra jamais à contribution). Mais elle a aussi des amis qui arriveront à mettre en branle une révolution. En 1 journée.
L'écriture est parfois un peu maladroite, surtout au début (il s'agit d'un premier roman), mais cela s'affermit en cours de lecture.
L'auteur n'a pas exploité toutes les pistes qui pouvaient s'offrir à lui ; la révolution atteint trop facilement son but. Je ne suis pas pour la violence à outrance, mais il y a presque trop de bons sentiments. Si les livres font réfléchir, les distribuer aux soldats n'a jamais empêché une guerre (même si c'est une belle image).
Le clan des Bienveillants n'égalera pas les hommes-mémoire de Bradbury.
Bon, le scénario est convenue : les livres sont interdits car porteurs d'espoir et notre jeune héroïne a un don et l'inspiration nécessaires pour en écrire (nous n'en connaîtrons jamais le contenu. Et une mère imprimeuse (qu'elle ne mettra jamais à contribution). Mais elle a aussi des amis qui arriveront à mettre en branle une révolution. En 1 journée.
L'écriture est parfois un peu maladroite, surtout au début (il s'agit d'un premier roman), mais cela s'affermit en cours de lecture.
L'auteur n'a pas exploité toutes les pistes qui pouvaient s'offrir à lui ; la révolution atteint trop facilement son but. Je ne suis pas pour la violence à outrance, mais il y a presque trop de bons sentiments. Si les livres font réfléchir, les distribuer aux soldats n'a jamais empêché une guerre (même si c'est une belle image).
Le clan des Bienveillants n'égalera pas les hommes-mémoire de Bradbury.
