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Critique de CeluiQuiBaille
« Quel est ton auteur préféré ? »
Il fut un temps où j'aurais répondu Pierre Bordage, sans hésitation. Et pourtant, j'ai depuis découvert tellement d'auteurs que je suis maintenant incapable de répondre à cette question. Mais surtout, je me suis rendu compte d'une redondance importante dans ses récits qui commence vraiment à me lasser.
Parmi la bibliographie du monsieur, j'ai dévoré Les Derniers Hommes, L'Enjomineur ainsi que Les Guerriers du Silence. J'avais en revanche été très déçu par La Fraternité du Panca ; Les Fables de L'Humpur et Echo dans le Temps se situant dans la moyenne. Je partais donc plutôt confiant à l'assaut de la duologie Wang.
Malgré un univers prenant, bien construit et une prose toujours aussi fluide et riche, la mayonnaise n'a pas réussi à prendre chez moi. J'ai eu une énorme impression de déjà-vu, une histoire déjà lue/connue, un même article dans un nouvel emballage. Fondamentalement, voici les ingrédients qui ont fait que j'ai eu l'impression de relire d'autres livres de l'auteur sous un nouveau jour :
- un pouvoir politico-religio-dogmatique individualiste et répressif en place,
- une philosophie minoritaire, humaniste et libératrice (bien que limite religieuse et dogmatique par certains aspects),
- une histoire d'amour exceptionnelle absente sur un bon trois-quarts de l'histoire,
- une certaine dimension complotiste.
Et j'en oublie certainement ! Attention, le tout fonctionne super bien ensemble, l'univers est génial et flippant. C'est juste ce goût de réchauffé qui me reste en bouche : insupportable. D'autant plus que même le scénario ne présente pas franchement d'originalité avec notamment cette fin attendue et vite expédiée. Dommage pour Wang, si j'avais découvert l'auteur avec lui, avant le reste, mon discours aurait certainement été tout autre.
Il fut un temps où j'aurais répondu Pierre Bordage, sans hésitation. Et pourtant, j'ai depuis découvert tellement d'auteurs que je suis maintenant incapable de répondre à cette question. Mais surtout, je me suis rendu compte d'une redondance importante dans ses récits qui commence vraiment à me lasser.
Parmi la bibliographie du monsieur, j'ai dévoré Les Derniers Hommes, L'Enjomineur ainsi que Les Guerriers du Silence. J'avais en revanche été très déçu par La Fraternité du Panca ; Les Fables de L'Humpur et Echo dans le Temps se situant dans la moyenne. Je partais donc plutôt confiant à l'assaut de la duologie Wang.
Malgré un univers prenant, bien construit et une prose toujours aussi fluide et riche, la mayonnaise n'a pas réussi à prendre chez moi. J'ai eu une énorme impression de déjà-vu, une histoire déjà lue/connue, un même article dans un nouvel emballage. Fondamentalement, voici les ingrédients qui ont fait que j'ai eu l'impression de relire d'autres livres de l'auteur sous un nouveau jour :
- un pouvoir politico-religio-dogmatique individualiste et répressif en place,
- une philosophie minoritaire, humaniste et libératrice (bien que limite religieuse et dogmatique par certains aspects),
- une histoire d'amour exceptionnelle absente sur un bon trois-quarts de l'histoire,
- une certaine dimension complotiste.
Et j'en oublie certainement ! Attention, le tout fonctionne super bien ensemble, l'univers est génial et flippant. C'est juste ce goût de réchauffé qui me reste en bouche : insupportable. D'autant plus que même le scénario ne présente pas franchement d'originalité avec notamment cette fin attendue et vite expédiée. Dommage pour Wang, si j'avais découvert l'auteur avec lui, avant le reste, mon discours aurait certainement été tout autre.
