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Critique de Bonheur_Lecture
Voici le premier roman que je lis de Gilbert Bordes. Je ne peux pas dire si ce sera le dernier, cela dépendra…
Dans « Les enfants de l'hiver », Gilbert Bordes nous raconte le destin de 6 enfants, qui, durant l'hiver 1943 sont recherchés par les nazis. Alors que tout les sépare, une seule chose les unit : ils sont tous fils ou fille de résistants. Pendant leur fuite, les passeurs sont fusillés, et le seul chemin accessible, détruit par les SS. Ils pourront compter seulement sur leur instinct de survie…
Quelle histoire ! J'ai passé un très bon moment avec ces enfants. J'ai eu peur pour eux, j'ai eu les larmes aux yeux avec eux. Je me suis demandé d'où il sortait ce courage. Parce que oui, serait-on capable de survivre nous, en plein hiver, dehors, dans un coin complètement paumé, sans pouvoir demander de l'aide (oui, il ne faut pas oublier, ils sont recherchés par les nazis). Combien d'enfants seraient capable de survivre dans ces conditions ? Trouver à manger, se réchauffer, faire face à la maladie, aux bêtes sauvages ?
J'ai beaucoup aimé l'histoire, qui est vraiment intéressante, qui nous montre ce qu'est véritablement l'instinct de survie. Au fond, la vie est belle, même si on est passé et que l'on passera toujours par des choses plus ou moins drôle, elle vaut la peine d'être vécue, et ses enfants, si jeune et si débrouillard, nous le montre bien ici. La liberté est cruciale…
Par contre, j'ai eu un peu de mal avec l'écriture, ou la structure du texte, je ne sais pas trop en fait. Est-ce le fait que le livre soit découpé en « un chapitre par jour », ou réellement l'écriture de Monsieur Gilbert Bordes qui m'a dérangé ici ? Je ne peux pas vous le dire. Pour cela, il faudrait que je m'essaye à un autre de ses romans.
En tout cas, c'est un super roman, sur un sujet peu habituel, parce que ne l'oublions pas, des pères et des mères ont mis en péril leur vie, et celle de leur famille, pour sauver un brin d'humanité pendant cette période si cruelle humainement…
Dans « Les enfants de l'hiver », Gilbert Bordes nous raconte le destin de 6 enfants, qui, durant l'hiver 1943 sont recherchés par les nazis. Alors que tout les sépare, une seule chose les unit : ils sont tous fils ou fille de résistants. Pendant leur fuite, les passeurs sont fusillés, et le seul chemin accessible, détruit par les SS. Ils pourront compter seulement sur leur instinct de survie…
Quelle histoire ! J'ai passé un très bon moment avec ces enfants. J'ai eu peur pour eux, j'ai eu les larmes aux yeux avec eux. Je me suis demandé d'où il sortait ce courage. Parce que oui, serait-on capable de survivre nous, en plein hiver, dehors, dans un coin complètement paumé, sans pouvoir demander de l'aide (oui, il ne faut pas oublier, ils sont recherchés par les nazis). Combien d'enfants seraient capable de survivre dans ces conditions ? Trouver à manger, se réchauffer, faire face à la maladie, aux bêtes sauvages ?
J'ai beaucoup aimé l'histoire, qui est vraiment intéressante, qui nous montre ce qu'est véritablement l'instinct de survie. Au fond, la vie est belle, même si on est passé et que l'on passera toujours par des choses plus ou moins drôle, elle vaut la peine d'être vécue, et ses enfants, si jeune et si débrouillard, nous le montre bien ici. La liberté est cruciale…
Par contre, j'ai eu un peu de mal avec l'écriture, ou la structure du texte, je ne sais pas trop en fait. Est-ce le fait que le livre soit découpé en « un chapitre par jour », ou réellement l'écriture de Monsieur Gilbert Bordes qui m'a dérangé ici ? Je ne peux pas vous le dire. Pour cela, il faudrait que je m'essaye à un autre de ses romans.
En tout cas, c'est un super roman, sur un sujet peu habituel, parce que ne l'oublions pas, des pères et des mères ont mis en péril leur vie, et celle de leur famille, pour sauver un brin d'humanité pendant cette période si cruelle humainement…
