Un essai critique pertinent, qui examine de façon chronologique dans l'oeuvre de
Zola la mutation de la bestialité en figure de l'idéal, ou plutôt l'engendrement par la bestialité même d'une forme quasi spirituelle de bonheur.
Les aficionados des Rougon-Macquart se délecteront: les exemples sont nombreux, concrets, agréablement rédigés et commentés avec finesse.
Inattendu, étonnant...et assez convaincant!
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