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Critique de gill
René Girier est un homme séduisant et charmeur. Surnommé dans le milieu "René la canne", il est un orfèvre du hold-up sensationnel et de l'évasion spectaculaire.
Roger Borniche est sur sa trace. Commence alors une longue poursuite où s'installe entre les deux hommes un respect et une estime mutuelle.
Ce livre, comme les précédents, est basé sur des faits réels. L'auteur raconte, avec efficacité la lutte contre le grand banditisme d'après-guerre.
Il souffle dans ces lignes un vent épique qui transforme ces policiers ordinaires et ces truands en personnages de tragédie.
L'auteur sait se mettre en scène mais s'il ne glorifie jamais les malfrats qui font couler le sang, il sait reconnaître, au delà de la morale, la vraie valeur d'un homme.
Les descriptions qu'il dessine des personnages de ses romans paraissent toujours justes et l'on a souvent l'impression de bien les connaître lorsque le livre se referme.
Roger Borniche signe là un excellent troisième opus, peut-être le dernier vraiment attachant.
Roger Borniche est sur sa trace. Commence alors une longue poursuite où s'installe entre les deux hommes un respect et une estime mutuelle.
Ce livre, comme les précédents, est basé sur des faits réels. L'auteur raconte, avec efficacité la lutte contre le grand banditisme d'après-guerre.
Il souffle dans ces lignes un vent épique qui transforme ces policiers ordinaires et ces truands en personnages de tragédie.
L'auteur sait se mettre en scène mais s'il ne glorifie jamais les malfrats qui font couler le sang, il sait reconnaître, au delà de la morale, la vraie valeur d'un homme.
Les descriptions qu'il dessine des personnages de ses romans paraissent toujours justes et l'on a souvent l'impression de bien les connaître lorsque le livre se referme.
Roger Borniche signe là un excellent troisième opus, peut-être le dernier vraiment attachant.
