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Critique de _sweetshelves
Ce roman est un roman classé dans le genre de la fantasy. MAIS. A ma lecture, j'y ai retrouvé tous les codés qui régissent le genre de la dystopie -et les dystopie, c'est vraiment très très cool !-. C'est donc avec beaucoup de plaisir que j'ai découvert « Purge ». Tout d'abord, j'aimerais faire une petite parenthèse sur la couverture. Vous avez-vous comme elle est belle ? Je suis complétement sous le charme -sans même avoir lu le résumé-. Je la trouve très harmonieuse, belle et sombre. de quoi promettre une histoire qui ne nous laisse pas de marbre.
Les promesses ont été tenues. Myriam Boscher nous plonge dans un univers dur et sombre. Elle met en avant les pathologiques psychiatriques, handicapantes et les phobies qui sont -à mon sens- bien trop peu représenté dans la littérature young adult. Cela permet au lectorat de se rendre compte que la vie de tout le monde n'est pas toute rose et que n'importe qui peut rencontrer des difficultés. C'est un excellent point, que je tiens à souligner en jaune fluo aha. En plus d'avoir des « désavantages », les personnages vivent également des événements pas faciles, voir même monstrueux, apportant un accent supplémentaire sur leur condition qui est déjà difficile. La plume de l'autrice est à la fois sombre et belle. Elle n'a pas peur d'écrire des scènes bourrées d'atrocités et d'émotions tout en ayant une certaine poésie dans ses tournures de phrase. J'ai vraiment beaucoup aimé.
Un point également important, ce sont les relations entre personnages que j'ai trouvé extrêmement bien décrites. On ressent chacune des émotions d'Elisha que ce soit de la peur, de la tristesse, de la joie ou de l'amour… On les vit littéralement avec lui. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé ce personnage. Il casse un peu les codes de protagonistes principaux qu'on a l'habitude de suivre. Il est effacé, timide, a une faible estime de lui, pas confiance en lui et souffre de son handicap. Tous ces traits l'ont rendu attachant à mes yeux et j'avais énormément envie qu'il progresse au fil des pages -ce qui est le cas-. C'est le genre de personnage qu'on a envie de prendre sous notre aile et de l'accompagner jusqu'au bout. Ce que j'ai un peu regretté, c'est peut-être le manque de développement psychologique des personnages secondaires. En effet, Elisha étant extrêmement développé, il fait un peu d'ombre aux autres. Mais ce n'est qu'un détail. On n'a pas vraiment besoin des états d'âmes des autres pour pouvoir pleinement apprécier l'histoire.
Le message véhiculé par l'autrice est fort et est très bien passé avec moi. Ce livre mérite une meilleure visibilité et d'être lu par le plus grand nombre. Alors, si vous aimez la dystopie, je ne peux que vous conseiller de foncer !
Les promesses ont été tenues. Myriam Boscher nous plonge dans un univers dur et sombre. Elle met en avant les pathologiques psychiatriques, handicapantes et les phobies qui sont -à mon sens- bien trop peu représenté dans la littérature young adult. Cela permet au lectorat de se rendre compte que la vie de tout le monde n'est pas toute rose et que n'importe qui peut rencontrer des difficultés. C'est un excellent point, que je tiens à souligner en jaune fluo aha. En plus d'avoir des « désavantages », les personnages vivent également des événements pas faciles, voir même monstrueux, apportant un accent supplémentaire sur leur condition qui est déjà difficile. La plume de l'autrice est à la fois sombre et belle. Elle n'a pas peur d'écrire des scènes bourrées d'atrocités et d'émotions tout en ayant une certaine poésie dans ses tournures de phrase. J'ai vraiment beaucoup aimé.
Un point également important, ce sont les relations entre personnages que j'ai trouvé extrêmement bien décrites. On ressent chacune des émotions d'Elisha que ce soit de la peur, de la tristesse, de la joie ou de l'amour… On les vit littéralement avec lui. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé ce personnage. Il casse un peu les codes de protagonistes principaux qu'on a l'habitude de suivre. Il est effacé, timide, a une faible estime de lui, pas confiance en lui et souffre de son handicap. Tous ces traits l'ont rendu attachant à mes yeux et j'avais énormément envie qu'il progresse au fil des pages -ce qui est le cas-. C'est le genre de personnage qu'on a envie de prendre sous notre aile et de l'accompagner jusqu'au bout. Ce que j'ai un peu regretté, c'est peut-être le manque de développement psychologique des personnages secondaires. En effet, Elisha étant extrêmement développé, il fait un peu d'ombre aux autres. Mais ce n'est qu'un détail. On n'a pas vraiment besoin des états d'âmes des autres pour pouvoir pleinement apprécier l'histoire.
Le message véhiculé par l'autrice est fort et est très bien passé avec moi. Ce livre mérite une meilleure visibilité et d'être lu par le plus grand nombre. Alors, si vous aimez la dystopie, je ne peux que vous conseiller de foncer !
