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Critique de Verdorie
Un soir, papa en rentrant du boulot n'a plus de tête...en tout cas, celle-ci ne se trouve plus sur ses épaules.
Maman et les deux enfants ont beau chercher partout, il faut se rendre à l'évidence : la tête de papa est perdue !
* Dessin de la mère : flagada, mine grisâtre, affalée dans un fauteuil, pleurant en pensant au "qu'en dira-t-on" : " Voilà une femme bien négligente qui ne sait pas où se trouve la tête de son propre mari ! Qu'est-ce que ça doit être pour les chaussettes de ses enfants !"
La grande soeur et le petit frère décident alors de fabriquer une tête factice en papier mâché (recette livrée avec l'histoire !) et maman est contente de retrouver son époux avec sa tête de cochon...euh...bon, bref...sa tête (remplie de carton-pâte).
Heureusement qu'un homme, sans cervelle et donc sans volonté, est empreint d'automatismes : il suffit de le guider afin qu'il se comporte comme bon père ( qui sait sortir sa carte de crédit pour acheter plein de jouets), ou comme bon mari (sachant cuisiner, faire danser sa femme, ne ronflant plus...), pourvu qu'on lui ré-bricole sa tête quand il se rase de bien trop près avant de partir au travail comme un pantin.
...malheureusement chaque beau récit a une fin...ah non ; j'oubliais un instant que c'est un livre d'images pour les enfants à partir de cinq ans...je me reprends :
Tout cela se termine bien pour le papa qui avait, pendant quelques jours, tout simplement, sa tête...ailleurs !
* avant-dernier dessin : le lit conjugal...on voit le père, dormant comme un bien-heureux, sur le dos, bouche ouverte (le son n'est pas livré avec l'histoire), à côté de la maman...yeux grands ouverts, bouche de travers, prête pour une autre nuit d'insomnie...
Les illustrations de Quentin Blake, gaies, espiègles (aux traits plutôt grossiers, mais habiles, et palette de couleurs adaptées) savent, comme toujours et à merveille dessiner une mise-en-scène qui se marie parfaitement avec ce texte jouissif....non, excusez-moi...avec ce texte amusant !
Maman et les deux enfants ont beau chercher partout, il faut se rendre à l'évidence : la tête de papa est perdue !
* Dessin de la mère : flagada, mine grisâtre, affalée dans un fauteuil, pleurant en pensant au "qu'en dira-t-on" : " Voilà une femme bien négligente qui ne sait pas où se trouve la tête de son propre mari ! Qu'est-ce que ça doit être pour les chaussettes de ses enfants !"
La grande soeur et le petit frère décident alors de fabriquer une tête factice en papier mâché (recette livrée avec l'histoire !) et maman est contente de retrouver son époux avec sa tête de cochon...euh...bon, bref...sa tête (remplie de carton-pâte).
Heureusement qu'un homme, sans cervelle et donc sans volonté, est empreint d'automatismes : il suffit de le guider afin qu'il se comporte comme bon père ( qui sait sortir sa carte de crédit pour acheter plein de jouets), ou comme bon mari (sachant cuisiner, faire danser sa femme, ne ronflant plus...), pourvu qu'on lui ré-bricole sa tête quand il se rase de bien trop près avant de partir au travail comme un pantin.
...malheureusement chaque beau récit a une fin...ah non ; j'oubliais un instant que c'est un livre d'images pour les enfants à partir de cinq ans...je me reprends :
Tout cela se termine bien pour le papa qui avait, pendant quelques jours, tout simplement, sa tête...ailleurs !
* avant-dernier dessin : le lit conjugal...on voit le père, dormant comme un bien-heureux, sur le dos, bouche ouverte (le son n'est pas livré avec l'histoire), à côté de la maman...yeux grands ouverts, bouche de travers, prête pour une autre nuit d'insomnie...
Les illustrations de Quentin Blake, gaies, espiègles (aux traits plutôt grossiers, mais habiles, et palette de couleurs adaptées) savent, comme toujours et à merveille dessiner une mise-en-scène qui se marie parfaitement avec ce texte jouissif....non, excusez-moi...avec ce texte amusant !
