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Critique de AgnesdeC
Un éternel adolescent nous conte ses amours, ses désamours, sa vision de la chute de l'empire américain (et occidental) à travers Zorro, Dallas et le rugby. Et l'on rit, on lève les yeux au ciel, on baille, on compulse vainement le site internet créé pour apporter des « pièces à conviction » supplémentaires à la logorrhée si vivante qu'elle semble directement retranscrite du dictaphone.
Et l'on se dit, quand même, il en soulève des lièvres sur l'inanité du capitalisme et de nos névroses parallèles qui ne se croisent jamais vraiment. Ce petit garçon qui ressasse le presque suicide de sa mère et se reproche celui du mari de sa maîtresse du moment…
Et je ne suis qu'au premier tome de cette autofiction nombriliste, cruelle et brillante ! (Mais quelle autofiction ne l'est pas ?).
Et l'on se dit, quand même, il en soulève des lièvres sur l'inanité du capitalisme et de nos névroses parallèles qui ne se croisent jamais vraiment. Ce petit garçon qui ressasse le presque suicide de sa mère et se reproche celui du mari de sa maîtresse du moment…
Et je ne suis qu'au premier tome de cette autofiction nombriliste, cruelle et brillante ! (Mais quelle autofiction ne l'est pas ?).
