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Critique de montmartin
La Baule, ici on ne vend de la crème solaire qu'aux roux et aux Britanniques. C'est dans cette station balnéaire qu'atterrit Michel un marchand de biens. Après une soirée un peu trop arrosée, telle une épave, il échoue dans les marais salants.
Il va faire la connaissance de Jean, un élève moyen, un jeune homme effacé, qui a quitté Paris pour suivre une formation de paludier. Il est devenu un cueilleur de sel.
Une violente altercation entre les deux hommes va tourner au drame. Au bord des marais, une promeneuse fait une découverte effrayante, deux pieds sales qui sortent de la terre spongieuse. Pour Jules Kedic, un gendarme, spécialisé dans le vol des mobylettes, cela va être l'enquête de sa vie.
Olivier Bourdeault nous avait étonnés avec son premier roman « En attendant Bojangles » paru début 2016. Hélas! dans ce second roman, je n'ai pas retrouvé la légèreté, la poésie et la virtuosité qui m'avait enchanté. Une grosse déception donc que cette histoire qui se résume à des équipées d'ivrognes qui partent en croisière de bar en bar, des discussions sans queue ni tête. Reste la description du métier difficile et ingrat des cueilleurs de sel qui accomplissent les mêmes gestes depuis des siècles avec les mêmes outils, mais cela ne suffit pas à faire un bon livre.
Il va faire la connaissance de Jean, un élève moyen, un jeune homme effacé, qui a quitté Paris pour suivre une formation de paludier. Il est devenu un cueilleur de sel.
Une violente altercation entre les deux hommes va tourner au drame. Au bord des marais, une promeneuse fait une découverte effrayante, deux pieds sales qui sortent de la terre spongieuse. Pour Jules Kedic, un gendarme, spécialisé dans le vol des mobylettes, cela va être l'enquête de sa vie.
Olivier Bourdeault nous avait étonnés avec son premier roman « En attendant Bojangles » paru début 2016. Hélas! dans ce second roman, je n'ai pas retrouvé la légèreté, la poésie et la virtuosité qui m'avait enchanté. Une grosse déception donc que cette histoire qui se résume à des équipées d'ivrognes qui partent en croisière de bar en bar, des discussions sans queue ni tête. Reste la description du métier difficile et ingrat des cueilleurs de sel qui accomplissent les mêmes gestes depuis des siècles avec les mêmes outils, mais cela ne suffit pas à faire un bon livre.
