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Critique de jade_
Rien ne me prédestinait à acquérir ce livre et à entrer dans l'univers de Sombre Tilly, cependant la rencontre avec l'auteure aux Halliennales a eu raison de moi et de mes économies.
Le récit débute en compagnie de Matilda, jeune sorcière de 17 ans vivant dans un cottage seule avec sa mère et sa grand-mère. Rapidement, nous comprenons que l'adolescente est bien loin de la gentille étudiante de Poudlard.
La jeune femme renferme une grosse part d'obscurité qui la guide au quotidien dans ses actions, qui ne sont pas sans conséquences pour elle.
Dans ce livre, Matilda suit sa vie d'adolescente, qui tente par tous les façons possibles de se faire une place à l'aide des moyens régulièrement immoraux que lui procure sa magie. L'identité de notre protagoniste se révèle et se peaufine au fur et à mesure de l'histoire, mais son comportement reste, la majorité du temps, loin de ce que nous pouvions connaître des héroïnes de romans fantasy.
Si je devais aborder les points forts du roman, je parlerais du vocabulaire utilisé; ce qui marque, selon moi, une grande différence entre les histoires françaises et anglaises est sans aucun doute le langage. Parfois la traduction gâche l'aspect poétique de l'oeuvre et centre le récit vers l'essentiel. Or, ici, j'ai retrouvé des phrases tournées de façons à ce que l'esprit, la senteur et les couleurs automnales apparaissent dans mon esprit. de plus, j'ai rarement eu l'occasion de lire de la cruauté aussi joliment narrée…
L'atrocité, voilà le second point qui m'a profondément marqué; nous retrouvons à Gravewick la sorcellerie bien plus traditionnelle
que celle de récits modernes; où se mêlent philtres, poupées vaudous et grimoires en tous genres. Dès la 4e de couverture, il est possible d'apercevoir la noirceur du roman qui s'accentue à mesure que l'histoire suit son cours…
Cependant, dans Sombre Tilly, j'aurais aimé que la liaison familiales entre les personnages soient plus accentuées, nous avions compris les tensions entre la mère et la fille, mais je trouve que le lien Nana May et Matilda n'est pas assez exploité alors qu'il semblerait qu'il soit important pour l'adolescente.
Ce roman qui nous permet de prolonger un peu plus longtemps cette période que j'adore qu'est halloween a été une jolie découverte qui mérite détoure pour ses décors, sa noirceur et ses mystères.
Le récit débute en compagnie de Matilda, jeune sorcière de 17 ans vivant dans un cottage seule avec sa mère et sa grand-mère. Rapidement, nous comprenons que l'adolescente est bien loin de la gentille étudiante de Poudlard.
La jeune femme renferme une grosse part d'obscurité qui la guide au quotidien dans ses actions, qui ne sont pas sans conséquences pour elle.
Dans ce livre, Matilda suit sa vie d'adolescente, qui tente par tous les façons possibles de se faire une place à l'aide des moyens régulièrement immoraux que lui procure sa magie. L'identité de notre protagoniste se révèle et se peaufine au fur et à mesure de l'histoire, mais son comportement reste, la majorité du temps, loin de ce que nous pouvions connaître des héroïnes de romans fantasy.
Si je devais aborder les points forts du roman, je parlerais du vocabulaire utilisé; ce qui marque, selon moi, une grande différence entre les histoires françaises et anglaises est sans aucun doute le langage. Parfois la traduction gâche l'aspect poétique de l'oeuvre et centre le récit vers l'essentiel. Or, ici, j'ai retrouvé des phrases tournées de façons à ce que l'esprit, la senteur et les couleurs automnales apparaissent dans mon esprit. de plus, j'ai rarement eu l'occasion de lire de la cruauté aussi joliment narrée…
L'atrocité, voilà le second point qui m'a profondément marqué; nous retrouvons à Gravewick la sorcellerie bien plus traditionnelle
que celle de récits modernes; où se mêlent philtres, poupées vaudous et grimoires en tous genres. Dès la 4e de couverture, il est possible d'apercevoir la noirceur du roman qui s'accentue à mesure que l'histoire suit son cours…
Cependant, dans Sombre Tilly, j'aurais aimé que la liaison familiales entre les personnages soient plus accentuées, nous avions compris les tensions entre la mère et la fille, mais je trouve que le lien Nana May et Matilda n'est pas assez exploité alors qu'il semblerait qu'il soit important pour l'adolescente.
Ce roman qui nous permet de prolonger un peu plus longtemps cette période que j'adore qu'est halloween a été une jolie découverte qui mérite détoure pour ses décors, sa noirceur et ses mystères.
