Mais aujourd'hui, en 2013, la profession se paupérisait ; certains avocats ne réussissaient pas à vivre de leur profession, d'autres "déposaient le bilan", les charges étant très lourdes , et la profession s'interrogeait : fallait-il instaurer un "numerus clausus "?
Nous sommes en 2013, époque où le monde judiciaire n'a jamais été aussi malmené.
Ce n'est pas à vous que je vais apprendre qu'il n'y a que 8355 magistrats pour la France entière et que dans les dix ans, un tiers va prendre sa retraite et ne seront , à priori, pas remplacés si l'on en croit les chiffres donnés dans les journaux.