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Critique de Meygisan
La captive aux cheveux de feu ne m'aura pas captivé plus que cela. La raison principale en est que l'on ne retrouve pas les personnages principaux des deux tomes précédents et c'est bien dommage, car malgré la relative qualité de ceux ci, au moins, on commençait à s'attacher à eux, et l'auteure nous donnait même envie d'en savoir plus sur cette fameuse Tour interdite dont la construction marquait un virage essentiel dans l'histoire de Ténébreuse.
Malgré sa relative brièveté ( à peine 200 pages), j'ai eu beaucoup de mal à terminer ce roman tant il ne se passe pas grand chose d'intéressant, à un point tel, d'ailleurs, que je ne lui trouve pas grand à chose à en dire.
Dommage, avec un titre aussi accrocheur, vous pourrez sans doute passer votre chemin, à moins d'être un fan inconditionnel de l'auteure et que l'envie ne vous prenne de dévorer tout ce qu'elle a écrit sur le sujet.
J'en ai donc terminé avec le cycle de L'âge de Damon Ridenow, malheureusement sur une note assez négative.
Je précise que je rédige cette critique alors que j'ai presque terminé la lecture de L'Empire débarque, cinquième tome des chroniques de Ténébreuse réunissant des nouvelles écrites par différentes auteures proches ou non de Marion Z Bradley, et mon constat ne sera guère plus brillant...
Malgré sa relative brièveté ( à peine 200 pages), j'ai eu beaucoup de mal à terminer ce roman tant il ne se passe pas grand chose d'intéressant, à un point tel, d'ailleurs, que je ne lui trouve pas grand à chose à en dire.
Dommage, avec un titre aussi accrocheur, vous pourrez sans doute passer votre chemin, à moins d'être un fan inconditionnel de l'auteure et que l'envie ne vous prenne de dévorer tout ce qu'elle a écrit sur le sujet.
J'en ai donc terminé avec le cycle de L'âge de Damon Ridenow, malheureusement sur une note assez négative.
Je précise que je rédige cette critique alors que j'ai presque terminé la lecture de L'Empire débarque, cinquième tome des chroniques de Ténébreuse réunissant des nouvelles écrites par différentes auteures proches ou non de Marion Z Bradley, et mon constat ne sera guère plus brillant...
