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Critique de noid
Olivier Bruneau semble ne pas apprécier de faire deux fois la même chose. Dirty sexy valley ou Esther ne se ressemblaient en rien et cette fois encore : rien à voir.
L'histoire un peu courte et peu développée d'un sniper au sein d'une milice privée testant une substance permettant de se passer de sommeil.
Dommage de ne pas mieux faire d'un pitch aussi prometteur
Lien : https://www.noid.ch/pharmakon/
L'histoire un peu courte et peu développée d'un sniper au sein d'une milice privée testant une substance permettant de se passer de sommeil.
Dommage de ne pas mieux faire d'un pitch aussi prometteur
Lien : https://www.noid.ch/pharmakon/
