Margarethe Buber-Neuman raconte dans ce premier tome son sort en URSS, où elle s'était réfugiée avec son mari pour fuir le naziame, où elle fut une des nombreuses victimes des purges organisées par Staline. Alors même qu'on ne peut pas l'accuser d'anticommunisme primaire, elle brosse du système pénitentiaire soviétique un tableau accablant, ce qui la fera prendre à partie de façon injuste par les compagnons de route du communisme au lendemain de la guerre, notamment quand elle sera prête à témoigner au procès de Kravchenko.
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