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Critique de JeromeJeanJacques
Bukowski a fait de son mode de vie un style littéraire ; c'est-à-dire, un profond rejet des convenances et l'adoption d'une façon d'être complètement débridée. On peut dire qu'il fait corps avec son oeuvre, et qu'elle ne manque pas d'authenticité. Cependant, c'est le deuxième roman de cet auteur que je lis, et l'engouement autour de sa personne m'échappe toujours…
On peut noter un profond nihilisme, un rejet en bloc de la société du travail et de consommation ; mais, ce qui est agaçant, c'est le refus, ou plutôt la complaisance de médiocrité dans laquelle il se maintient. Parce que je perçois, à travers sa manière de vivre et d'écrire, une sorte de minimaliste fainéant ; un refus pur et simple de l'intellectualisme.
C'est charmant quelques pages, mais au bout de plusieurs chapitres ça devient agaçant. Au final, l'histoire n'a ni queue ni tête, elle n'est qu'une succession de saouleries, de recherches infructueuses d'emplois et de discussions avec des marginaux — comme dans le reste de ses autres livres.
On peut noter un profond nihilisme, un rejet en bloc de la société du travail et de consommation ; mais, ce qui est agaçant, c'est le refus, ou plutôt la complaisance de médiocrité dans laquelle il se maintient. Parce que je perçois, à travers sa manière de vivre et d'écrire, une sorte de minimaliste fainéant ; un refus pur et simple de l'intellectualisme.
C'est charmant quelques pages, mais au bout de plusieurs chapitres ça devient agaçant. Au final, l'histoire n'a ni queue ni tête, elle n'est qu'une succession de saouleries, de recherches infructueuses d'emplois et de discussions avec des marginaux — comme dans le reste de ses autres livres.
