Deux jours pour lire une cinquantaine de pages. Je me traîne dessus avec cette sensation désagréable de tourner en rond. Un régisseur raconte son patron, celui que l'on nomme
le lion sans crinière parce qu'il a tué un lion à mains nues. Une révolte se prépare contre un dictateur qui exploite les paysans. de longues pages de descriptions de nature et de personnages. Un style trop travaillé qui se refuse à moi.
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