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Critique de Khalya


Pour les habitués de la plume de Nicole de Buron, on peut dire qu'elle brouille les pistes : l'Homme est toujours là, constant, parfois sans prénom, ici Alexandre, le mari de l'auteur était Jean Bruel, le patronyme ayant causé certains tracas : « non je ne suis pas la mère de Patrick ».
Mais pour les enfants, c'est une autre affaire. Ils sont toujours deux. Mais j'avais rencontré Fille ainée (Justine) et petite chérie (Alizée) dans « chéri tu m'écoutes… », Alizée était devenue Joséphine dans « c'est quoi ce petit boulot » (ou inversement, je ne les ai pas lus dans leur ordre de sortie).
Généralement, malgré l'allusion à un premier mariage, les deux héritières, comme se plait à les appeler l'auteur, sont du même père.
Ici, le premier mariage a été fructueux et Justine n'est plus Justine mais Pauline, qui n'a pas le titre de « fille ainée » mais de « petite mère », quoi qu'elle ait tout de même 3 enfants (mais pas les même que dans les autres livres) et une boutique.
Quant à l'héritière de l'homme, Alizée/Josephine, elle disparait au profit du Fils : Balthazar (d'après la page wikipédia de l'auteur, celle-ci aurait 2 filles…).
Autour de cette famille à la composition et aux prénoms changeant, on retrouve les même anecdotes : l'affaire des épinards de l'enfance de Nicole de Buron, le père militaire qui n'a eu que des filles dans sa course pour avoir un fils (bien fait comme elle dit), les grands parents aristocratiques mais finissant fauchés par le banquier de Grand-père qui a fait faillite, la mère, plusieurs fois mariée, jamais contente, souvent en « maison de santé », les copines, la ferme à retaper, les nuits de travail etc…

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