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Critique de idevrieze
J'adore l'évolution des personnages
Comment vous expliquer cela sans être non plus trop enthousiaste? Normalement, dans une saga, les personnages évoluent et pas souvent dans le sens que l'on voudrait (Onyx des Chevaliers d'Emeraude, si tu passe par là….) Ici, rien n'est surjoué. Tout est absolument juste. Les personnages vieillissent et évoluent en fonction de la situation géopolitique d'Alera qui n'est pas simple non plus. Tavi devient un légionnaire et je dois dire que parfois, malgré sa jeunesse et son manque de furies, c'est à mourir de rire. On sent que le gars en veut. Mais il n'est pas non plus l'archétype du héros. Il profite de la vie avec sa meuf, il s'inquiète pour sa tante et son oncle, se fait des amis, déjouent des complots (la base je vous dit).
L'auteur ne fait pas non plus la bêtise ultime de faire référence au manque notoire de furies de Tavi. Certes, il nous ping comme il faut pour que l'on puisse à loisir noter la frustration du gamin, ou pour nous expliquer que parfois il galère. Mais à part cela, nous n'avons pas non plus des pages de larmoiements totalement déchirants avec des pourquoi à la face du monde. Tavi est le genre de gars qui, lorsqu'il rencontre un problème, cherche les solutions en fonction de ses capacités sans envier celles des autres. Et quelque part, j'ai envie de vous dire que c'est aussi une leçon de vie
Vous ne vous reposerez pas une seule seconde.
Certes, il y a des temps presque calme pour nous dérouler l'intrigue. Et nous suivons toujours différents axes : Tavi et Kitaï d'un côté, Bernard et Amara de l'autre, Isana dans son coin (la rebelle !) mais dans l'ensemble, Jim Butcher nous montre qu'il sait écrire de magnifiques scènes de batailles, d'amour, de moments de vie et de combats de furies (oui il y'en a). Il met ce qu'il faut d'humour, de passion, de réflexion dans ce tome.
Ainsi, sans vous apercevoir, vous vous rendrez compte que le monde entier a continué à vivre sans vous (c'est comme ça, que voulez vous) et en prime, le temps s'est écoulé de manière très sournoise pendant que vous avez mangé la première moitié du tome dans la journée. Heureusement pour moi, Séverine, ma co-lectrice adorée, a tenu le rythme (manifestement, elle a eu les mêmes problèmes que moi) au point qu'au moment où je vous écris cette chronique, sachez que nous lisons le tome 4. Vous aurez donc bienôt de nos nouvelles
Lien : https://labibliodekoko.com/2..
Comment vous expliquer cela sans être non plus trop enthousiaste? Normalement, dans une saga, les personnages évoluent et pas souvent dans le sens que l'on voudrait (Onyx des Chevaliers d'Emeraude, si tu passe par là….) Ici, rien n'est surjoué. Tout est absolument juste. Les personnages vieillissent et évoluent en fonction de la situation géopolitique d'Alera qui n'est pas simple non plus. Tavi devient un légionnaire et je dois dire que parfois, malgré sa jeunesse et son manque de furies, c'est à mourir de rire. On sent que le gars en veut. Mais il n'est pas non plus l'archétype du héros. Il profite de la vie avec sa meuf, il s'inquiète pour sa tante et son oncle, se fait des amis, déjouent des complots (la base je vous dit).
L'auteur ne fait pas non plus la bêtise ultime de faire référence au manque notoire de furies de Tavi. Certes, il nous ping comme il faut pour que l'on puisse à loisir noter la frustration du gamin, ou pour nous expliquer que parfois il galère. Mais à part cela, nous n'avons pas non plus des pages de larmoiements totalement déchirants avec des pourquoi à la face du monde. Tavi est le genre de gars qui, lorsqu'il rencontre un problème, cherche les solutions en fonction de ses capacités sans envier celles des autres. Et quelque part, j'ai envie de vous dire que c'est aussi une leçon de vie
Vous ne vous reposerez pas une seule seconde.
Certes, il y a des temps presque calme pour nous dérouler l'intrigue. Et nous suivons toujours différents axes : Tavi et Kitaï d'un côté, Bernard et Amara de l'autre, Isana dans son coin (la rebelle !) mais dans l'ensemble, Jim Butcher nous montre qu'il sait écrire de magnifiques scènes de batailles, d'amour, de moments de vie et de combats de furies (oui il y'en a). Il met ce qu'il faut d'humour, de passion, de réflexion dans ce tome.
Ainsi, sans vous apercevoir, vous vous rendrez compte que le monde entier a continué à vivre sans vous (c'est comme ça, que voulez vous) et en prime, le temps s'est écoulé de manière très sournoise pendant que vous avez mangé la première moitié du tome dans la journée. Heureusement pour moi, Séverine, ma co-lectrice adorée, a tenu le rythme (manifestement, elle a eu les mêmes problèmes que moi) au point qu'au moment où je vous écris cette chronique, sachez que nous lisons le tome 4. Vous aurez donc bienôt de nos nouvelles
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