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Critique de mireille.lefustec


Ma façon de rendre hommage à Andrea Camilleri est de lire le maximum de ses ouvrages, historiques ou policiers.
Ainsi, j'en ai lu quinze eu un mois. Mon petit dernier est le quatrième de la série Montalbano, publié en 1997 : "la voix du violon".
Alors que le commissaire avait cinquante-huit ans dans les précédents, le revoici en pleine force de l'âge.
Déjà sensible aux variations climatiques et déjà pépère tranquille au volant.
Sauf que ce jour-là, où il se rend à un enterrement, c'est son adjoint Gallo à la conduite très sportive qui mène le train.
Après avoir écrasé une poule "suicidaire" (on est à la campagne) il dévie et heurte une voiture en stationnement devant une maison. Passage obligé à l'hôpital. Temps perdu.
Conséquence de l'accident, mais non cause, : la macabre découverte du cadavre d'une jeune femme.
L'enquête bien conduite, mais sans précipitation, est contrecarrée par le nouveau Questeur qui n'apprécie pas
cette façon de faire : il faut du résultat, et rapidement.
Seulement, alors que l'enquête est retirée à notre cher commissaire, une erreur fatale est commise par la nouvelle équipe. Montalbano est de nouveau sur le terrain.
Comme d'habitude j'ai aimé les adjoints ,et la langue jubilatoire de Camilleri.
Et Catarella !
"Catarella, au commissariat, ils l'avaient mis à répondre aux coups de fil dans la conviction erronée que là, il pourrait faire moins de dégâts qu'ailleurs".
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