>
Critique de som
Femme unique et d'exception, Alexandra David-Néel n'en n'est pas moins un tyran domestique.
Au gré de trois tomes, son assistante Marie-Madeleine Peyronnet narre les milles aventureuses de sa patronne. Son enfance et jeunesse de jeune fille de bonne famille, son parcours académique qui fera d'Alexandra l'une des premières spécialistes du bouddhisme en France et bien sûr ses voyages en Orient dont le célébrissime périple à Lhassa en 1924.
Tout cela est aujourd'hui relativement bien connu. Ce qui l'est moins c'est la personnalité haut en couleurs, pour ne dire autoritaire et manipulatrice de l'aventurière, particulièrement avec Marie-Madeleine. Leurs relations oscillent entre une soumission consentie, des coups de gueules et une affection filiale.
Ce double niveau narratif s'adosse à une construction classique d'allers et de retours entre hier et aujourd'hui. Etrangement peu de transgression visuelle ni artistique pour un personnage aussi atypique, que du carré et du solide.
Au gré de trois tomes, son assistante Marie-Madeleine Peyronnet narre les milles aventureuses de sa patronne. Son enfance et jeunesse de jeune fille de bonne famille, son parcours académique qui fera d'Alexandra l'une des premières spécialistes du bouddhisme en France et bien sûr ses voyages en Orient dont le célébrissime périple à Lhassa en 1924.
Tout cela est aujourd'hui relativement bien connu. Ce qui l'est moins c'est la personnalité haut en couleurs, pour ne dire autoritaire et manipulatrice de l'aventurière, particulièrement avec Marie-Madeleine. Leurs relations oscillent entre une soumission consentie, des coups de gueules et une affection filiale.
Ce double niveau narratif s'adosse à une construction classique d'allers et de retours entre hier et aujourd'hui. Etrangement peu de transgression visuelle ni artistique pour un personnage aussi atypique, que du carré et du solide.
