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Critique de SabiSab28
A mon tour, je succombe à cette envie de lire La peste en cette période troublée.
Bien m'en a pris ! C'est un magnifique roman qui, à travers le prisme d'une épidémie, met en relief tous les comportements de l'être humain.
De l'insouciance à la révolte, nous passons par toutes ces étapes de vie, de survie en tant de guerre, qu'elle soit pandémique ou militaire : Camus décortique nos peurs, notre envie de vivre mais aussi le fatalisme qui nous touche face à ces épreuves.
L'écriture est magnifique, travaillée. Ses différents personnages permettent d'englober toute la complexité de l'être humain.
Si au début, on est frappé par tous ces mêmes étapes que nous vivons, on fait par la suite le parallèle avec la 2nde guerre, les délations ou la résistance, subir ou se révolter.
L'âme humaine est au coeur de ce roman.
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"Le fléau n'est pas à la mesure de l'homme, on se dit donc que le fléau est irréel, c'est un mauvais rêve qui va passer. Mais il ne passe pas toujours et , de mauvais rêve en mauvais rêve, ce sont les hommes qui passent, et les humanistes en premier lieu."
"il fallait lutter de telle ou telle façon et ne pas se mettre à genoux. Toute la question était d'empêcher le plus d'hommes possible de mourir et de connaitre la séparation définitive."
"Maintenant, je sais que l'homme est capable de grandes actions. Mais s'il n'est pas capable d'un grand sentiment, il ne m'intéresse pas."
Bien m'en a pris ! C'est un magnifique roman qui, à travers le prisme d'une épidémie, met en relief tous les comportements de l'être humain.
De l'insouciance à la révolte, nous passons par toutes ces étapes de vie, de survie en tant de guerre, qu'elle soit pandémique ou militaire : Camus décortique nos peurs, notre envie de vivre mais aussi le fatalisme qui nous touche face à ces épreuves.
L'écriture est magnifique, travaillée. Ses différents personnages permettent d'englober toute la complexité de l'être humain.
Si au début, on est frappé par tous ces mêmes étapes que nous vivons, on fait par la suite le parallèle avec la 2nde guerre, les délations ou la résistance, subir ou se révolter.
L'âme humaine est au coeur de ce roman.
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"Le fléau n'est pas à la mesure de l'homme, on se dit donc que le fléau est irréel, c'est un mauvais rêve qui va passer. Mais il ne passe pas toujours et , de mauvais rêve en mauvais rêve, ce sont les hommes qui passent, et les humanistes en premier lieu."
"il fallait lutter de telle ou telle façon et ne pas se mettre à genoux. Toute la question était d'empêcher le plus d'hommes possible de mourir et de connaitre la séparation définitive."
"Maintenant, je sais que l'homme est capable de grandes actions. Mais s'il n'est pas capable d'un grand sentiment, il ne m'intéresse pas."
