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Critique de 125bulle


La ville d'Oran est comme une souricière où la peste se propage et frappe sans logique, c'est l'absurde condition humaine. C'est un engrenage, à l'image de la machine de guerre qui broie tout le monde, coupables et innocents. Des hommes meurent, s'entretuent… Nous perdons des proches que nous ne reverrons plus… et pourtant, nous pouvons aussi être heureux. On continue à exister, à être dans la vie.La peste, cette maladie terriblement transmissible, sépare les hommes, les rend méfiants, mais par la lutte collective qu'elle suscite, les rapproche aussi et Camus en décrit les manifestations avec une grande précision. Pou certains, il s'agit d'une métaphore du nazisme, pour d'autres un ambitieux plaidoyer contre toutes les dictatures. Un livre qui a sa place dans l'histoire de la littérature moderne et qui pousse à réfléchir. UN livre d'utilité publique !
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