C'est un beau roman, c'est une belle histoire… je pourrais m'arrêter là.
Un peu court. Ce serait insulter la grande histoire, dont l'auteure révèle un pan méconnu, la résistance des Juifs autrichiens à l'envahisseur nazi.
Ce serait ignorer l'exacte description des symptômes de la maladie Alzheimer, affection impitoyable pour la mémoire courte, conservatrice pour la mémoire ancienne.
Et le volet sentimental ? Ici, le bât blesse, tant en 1938 qu'en 1989. Les amoureux sont transis et leurs sentiments délayés à outrance.
La mécanique de l'alternance du récit entre les deux époques m'a gêné aussi, ainsi que les rebondissements vertigineux liés au timbre mystérieux.
Mais, bon, c'est un roman, et tout est permis, pourvu que le lecteur suive.
J'ai suivi jusqu'à la dernière lettre.
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