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Critique de dbouillot
C'est un petit pavé d'environ 500 pages, à la couverture joliment composée avec des commentaires élogieux au dos de celle-ci, que j'ai eu l'avantage de pouvoir tenir entre mes mains grâce à l'opération "Masse critique" de ce mois de septembre 2022 (merci à Babelio et aux éditions du Diable Vauvert).
Autant dire que j'étais impatient de le commencer, surtout que la taille des caractères était plutôt rassurante quant à la longueur du roman. Mais, puisque nous en sommes à la forme, je dois avouer que j'ai été gêné par le choix de mise en page consistant à placer le titre du roman à la verticale sur le milieu du côté gauche des pages paires. Certes, c'est original, mais cela n'apporte pas grand-chose sinon de se dire qu'on va vivre ces 500 pages avec ce titre trop inhabituellement lisible. Heureusement, on finit tout de même par l'oublier un peu…
En revanche, j'avoue avoir eu du mal à me faire au style de l'auteur. Flamboyant, certes (selon la quatrième de couverture), mais bien trop à mon goût, au point d'en ressentir tout le poids durant la lecture de cette histoire. Celle-ci se situe dans une thématique "Road Movie", ou plutôt ici "Barge Movie", et ceci dans les deux sens du mot, car l'intrigue et les protagonistes sont effectivement plutôt barges. Peut-être même un peu trop ? J'ai nettement ressenti le plaisir qu'a pu avoir l'auteur à ouvrir ses vannes, se délectant à camper sa brochette de personnages improbables et à les pousser dans les dérives de son histoire.
Ce roman plaira certainement aux amateurs de péripéties et de styles plutôt déjantés, et pourquoi pas aux bateliers qui pourront ainsi agrémenter la monotonie qui parfois s'installe le long de ces beaux canaux de France.
Autant dire que j'étais impatient de le commencer, surtout que la taille des caractères était plutôt rassurante quant à la longueur du roman. Mais, puisque nous en sommes à la forme, je dois avouer que j'ai été gêné par le choix de mise en page consistant à placer le titre du roman à la verticale sur le milieu du côté gauche des pages paires. Certes, c'est original, mais cela n'apporte pas grand-chose sinon de se dire qu'on va vivre ces 500 pages avec ce titre trop inhabituellement lisible. Heureusement, on finit tout de même par l'oublier un peu…
En revanche, j'avoue avoir eu du mal à me faire au style de l'auteur. Flamboyant, certes (selon la quatrième de couverture), mais bien trop à mon goût, au point d'en ressentir tout le poids durant la lecture de cette histoire. Celle-ci se situe dans une thématique "Road Movie", ou plutôt ici "Barge Movie", et ceci dans les deux sens du mot, car l'intrigue et les protagonistes sont effectivement plutôt barges. Peut-être même un peu trop ? J'ai nettement ressenti le plaisir qu'a pu avoir l'auteur à ouvrir ses vannes, se délectant à camper sa brochette de personnages improbables et à les pousser dans les dérives de son histoire.
Ce roman plaira certainement aux amateurs de péripéties et de styles plutôt déjantés, et pourquoi pas aux bateliers qui pourront ainsi agrémenter la monotonie qui parfois s'installe le long de ces beaux canaux de France.
