Ecrit avec Alain Brissiaud, une relation épistolaire laisse parfois peu de place au vide, à la chance de ceci, offrir aux instants démesurés des nuits passées à ressasser le temps du néant absorbé des mots un possible discours, ou un possible silence. A un moment, il n'y eut que le poème, là, comme évidence, pour ouvrir l'espace du langage comme le cœur. Alors est venu Octobre comme imperturbablement un automne fabriqué des étés, peu importe la sècheresse parfois, o... >Voir plus