Une prose hallucinée, jusqu'auboutiste dans son érudition mais refusant les artifices de la virtuosité formelle, faisant appel à
Borges, Kafka ou encore
Lovecraft, qui réfléchit sur les limites, les « prisons concentriques » de la réalité et comment les briser grâce à un « plan d'évasion. » Un chef d'oeuvre total, malgré une bavardise qui fait patauger la lecture, mais qui se justifie par la forme du journal intime et l'obsession de son narrateur de détailler le moindre signe comme étape nécessaire du cheminement de sa quête d'évasion…
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