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Critique de prettyrosemary


Au début, le constat a été plutôt très positif. On est plongé dans la tête et le quotidien ultra parisien d'Ophélie, sous la forme du journal pour lequel Alex Cartier a opté. L'écriture est vivante, rythmée, et l'auteur ne manque pas d'humour. J'ai pris du plaisir à suivre la petite histoire d'amour d'Ophélie, ses réflexions sur les techniques d'approches, sur le couple, et le personnage de Laure qui est la fille spirituelle de Samantha Jones apporte son lot de répliques cultes. En plus de cela, dès le début, le roman est jalonné de références cinématographiques, ce qui permet à une intrigue initiale somme toute assez traditionnelle de se singulariser.

Etrangement, j'ai commencé à décrocher totalement lorsqu'on entre dans le vif du sujet. A partir du moment où Ophélie débarque à Deauville et où toute l'affaire Michael Brown se met en place, j'avoue que je n'ai plus du tout adhéré. La jeune femme parait avoir régressé de dix ans, oublie son mec en une demie-seconde pour l'archétype de la star parfaite. Il y a un vrai décalage pour moi entre le récit « pour pré-adolescentes » (je mets ça entre douze guillemets parce que des pré-adolescentes, y'en a pas qu'un genre hein) et les scènes de sexe assumées clairement destinées à un public adulte. Et puis arrivée aux cinquante dernières pages, j'ai carrément fini en diagonale tant l'issue m'a semblée abracadabrante.
Lien : https://prettyrosemary.wordp..
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