AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,14

sur 6592 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Une réécriture de Cendrillon à la sauce "Occupation-double" durant cinq tomes. Ce n'est PAS une dystopie, c'est une romance, un "Sentimental" en jargon libraire. Une romance très peu crédible, qui plus est, que je ne recommande pas du tout.


Dans un monde où les États-Unis aurait été sous contrôle japonais ( bien que ce ne soit plus le cas dans le livre) les ex-USA sont ont une monarchie avec des classes sociales par numéro. "America Singer" est chanteuse et fait parti des "5". Un jour, le prince, accessoirement l'homme le plus influent et riche du pays, propose une série télévisée pour choisir sa femme. America CHOISI de participer ( rien d'obligatoire, donc) et elle fait partie des 35 sélectionnées, parce que les filles qui se retrouvent au château pour quelques semaines ont des compensions pour leur famille. Et bien sur, quand elle voit le prince, tout change.


C'est véritablement la même histoire que Cendrillon, mais sur fond de "Le Bachelor", émission bien réelle où un jeune homme riche et puissant se choisi une femme dans un reality-show. Ce roman n'a absolument rien de neuf à offrir. le système de castes? Rien à voir avec Divergence ou Hunger Games, c'est le même système que l'Inde actuelle ou l'ancienne Angleterre, avec des castes sociales hiérarchisées et très étanches, mais bien moins pauvres qu'on tente de nous le faire croire. Et on en entendra à peine parler, pour être honnête.


Dans un premier temps, je dois dire que je n'ai pas comprit où on voulait en venir avec cette histoire de "Sélection". le peuple gronde de colère ( j'imagine qu'ils n'aiment pas les classes sociales étanches, mais on ne sait pas trop quels sont les enjeux sociaux réels) et la seule chose que les têtes couronnées trouvent à faire est de faire un "Le Bachelor" avec leur propre fils? Où est la logique? "On va diminuer la grogne populaire en les abrutissant devant leur Tv pendant un mois, ça devrait les calmer", c'est ce que j'ai cru comprendre. Mais ça n'a rien à voir avec l'outil de torture mental et psycho-social de Hunger games cette émission, c'est plutôt un show de boucane pour esprits mineurs. Et après le show, que fait-on? Parce que la grogne populaire est encore là je vous signale....

Dans un second temps, "l'héroïne" ( le mot est fort) America est une imbécile. Littéralement. Mit à part se plaindre de sa pauvre vie difficile, elle ne fait concrètement rien. Elle est une "5", mais ça ne l'empêche pas de manger à sa faim, d'être logée, blanchie, d'avoir un travail ( soit-dit en passant un travail de "chanteuse" que presque une vaste majorité dans le monde de personne souhaitent avoir) et même d'avoir une TV! Ah, mais "acheter un magazine est un luxe". J'ai des nouvelles pour toi, fille, C'EST un luxe. Tout ce qui n'est pas un produit essentiel devient un luxe.


Kiera Cass semble avoir un problème de conception quand à ce qui est 'misérable" ( le terme employé pour qualifier la situation des filles de ce show de boucane sentimental). On ne parle pas de famine, de vie dans la rue, d'oppression politique ou même de libre-arbitre. Ici, États-Unia Chanteuse mange trois fois par jours, jouit d'une maison, d'un train de vie confortable, de la possibilité d'exercer un métier, de manger du pop-corn devant un film chaque semaine ET ( et là c'est le comble de la bêtise) elle tente une fois encore de nous faire croire à sa misérabilité avec le fait que "quand ils en ont la "chance", ils s'offrent une femme de ménage...Sérieusement!? Alors non seulement vous êtes de sacrés plaignards, famille de Miss Dorémi, mais en plus vous êtes des fainéants? Parce que faire le ménage, il me semble, c'est un truc pas très compliqué que tous les groupes sociaux peuvent faire et je ne parle pas du LUXE énorme qu'est le fait de faire faire son ménage. Donc, en gros, Miss États-Unis-Nombril-du-monde est une petite bourgeoise capricieuse et pleurnicharde de la haute classe moyenne. Et je suis supposer compatir?


Et soit-dit en passant, dans le tome 2, cette histoire de donner un bijou ( qui ne lui appartient pas) à la princesse d'Italie pour qu'elle convole avec son coup de foudre irrationnel, ça s'appelle "un enjeu d'État", et bravo pour avoir risqué une crise diplomatique. Et cet imbécile de prince qui la choisie, malgré tout. C'est incompréhensible au plus haut degré. Mais bon, ce n'est pas comme si Cass avait quelque bases en politiques non plus.

Nous avons donc une ado pleurnicharde, sans colonne, sans talents et incapable de faire un choix entre deux mâles - car c'est bien le sujet de cette série - quel homme va choisir notre ado si "misérable". America est la typique adolescente jolie - mais-qui-ne-le-sait-pas, qui a le QI d'un concombre de mer et un QE de princesse Disney des années 30. Et qui va avoir tout ce qu'elle veut sans aucunes raisons logiques ou cohérentes. Je présume donc que c'est juste parce qu'elle est belle.


Cass tente de nous en faire un portrait de pureté gentille et modeste, mais c'est peu crédible et qui correspond à un très vieil archétype féminin valorisé autrefois, au siècle dernier. Soyons francs: aller passer quelques semaines dans un palace à ne rien faire d'autre que manger et s'amuser, ça n'a rien de bien méchant. Je ne vois même pas pourquoi America se plaint. Ah, parce qu'elle avait un copain. La belle affaire. Il l'a plaqué pour qu'elle ailles faire le show. Mais vous ignorez le plus beau: les filles peuvent dire NON, à la fin de ce "jeu". Et oui, ça na rien d'un jeu "cruel" où les filles deviennent des proies, elles ont leur libre-arbitre. Alors, pourquoi ne pas en profiter et puis revenir épouser son copain une fois la fête terminée? Ah oui...parce qu'America va tomber amoureuse du prince. Toute cette idée de "je le fais pour ma famille" est ridicule et cela contraste trop avec la nature égocentrique et pantouflarde de la protagonistes. La crédibilité psychologique est assez faible.


Quand à ce qui se passe au château, dire qu'il s'agit d'un "jeu" est aussi exagéré. Il ne se passe pas grand chose, hormis du crêpage de chignon et des rencontres en tête-à-tête. Encore une fois, il n'y a rien de méchant dans tout ça, et surtout, il n'y a aucun suspense. Il n,existe en outre aucun cadre à ce "jeu", c'est très basique et extrêmement subjectif. Il n'y a rien à comprendre, au final et je constate que pour un chef d'État, il a des critères vraiment très bas. À aucun moment on sent l'intention de discriminer ces filles selon une logique quelconque, comme sur la question de leur culture générale, des habiletés ou même de leur vision du monde. On a juste une pelletée de filles stupides et ignares qui complotent pour obtenir le mâle riche et puissant, en quoi est-ce supposément intriguant? C'est ennuyeux à mourir et comme les dialogues sont creux et simplistes, c'est soit mièvre au possible soit prévisible à des kilomètres.


En tant que libraire, j'ai du mal à cerner ce qui a fait de ce roman monté sur des retailles d'autres oeuvres et couvert du plus épais glaçage de bêtises pour cacher un gâteau inexistant un si franc succès. Son héroïne n'est ni intelligente, ni forte ni intéressante. le message ambiant est le même que tous les autres: Soit belle et spéciale, tu verras tes rêves s'accomplir. Ce livre vend du rêve, le rêve d'une vie facile sans faire le moindre efforts et de devenir le trophée d'un homme riche, puissant et beau. Wouah, que d'émotions profondes et d'enrichissement personnel- Notez le sarcasme.

America n'est pas le seul heurt pour ma part, en plus du décor emprunté à d'autres oeuvres de style Arlequin: Les autres personnages sont creux, pas plus brillants. le prince ne se conduit ni en chef d'état, ni en homme mature. On dirait un enfant de 8 ans qui veut juste la plus belle fille de la cour de récré. On nous laisse présager un conflit civile qui ne viendra jamais, on nous parle de rebelles dont le seul représentant jamais rencontré est l'ex d'America. Tout ce qui aura pu constituer une base pour une uchronie ou une dystopie est inexistante. Il se ne dégage ni leçon de vie, ni enjeux sociaux, ni profondeur émotives. Concrètement, il ne se passe RIEN. On passe de statu quo à "statu quo avec poupée en robe de chiffon bleue sur le trône".

Au final, l'aspect romance perd complètement son charme, parce qu'il est évident que personne ne serait assez bête pour dire NON au gars le plus riche et le plus puissant au monde, surtout s'il est en plus beau, stupide, naïf et docile. Alors, dès le début, la fin ne fait pas de doute, même si la sauce s'étire sur trois tomes. Par ailleurs, et Occupation Double en est un parfait exemple: on ne forme pas des couples amoureux quand il y a un contexte de jeu en présence, pour la simple raison que l'argent, le statut et le fait de gagner prend le pas sur quelque sentiment que ce soit. L'appât du gain. Bien sur, Cass tente de nous convaincre qu'América gagne pour sa gentillesse ou un truc du genre, mais ça n'a rien de bien difficile quand les autres sont toutes de pimbêches avides de gloire et d'argent. America n'était pas la meilleure, seulement la moins pire. Et certainement pas le meilleur choix pour être Reine, avec son absence de culture générale, de conscience sociale, d'avis politique, de hobbies, d'opinion, de bon sens...en fait, ce serait plus simple de dire que ce personnage est un vase creux.

En somme, "La sélection" est devenu mon référentiel de médiocrité. C'est sa seule utilité pour ma part.Quand je dois critiquer un roman, je n'ai qu'à me demander si ses composantes sont aussi médiocres que celles de cette série. J'ai rarement eu autant l'impression qu'on prenait les filles pour des idiotes et cette croyance reste tenace quand je vois les commentaires élogieux sur son compte.

Et le tome 4 et 5 reprend le même manège, mais avec 30 hommes et une princesse au caractère détestable et puérile, résultat d'un couple de parent incapable de lui fournir l'éducation nécessaire à tout bon dirigeant. J'ai abandonné dans le tome 4, c'était devenu vraiment trop frustrant à lire. Pour ceux qui se demande pourquoi j'ai tenu bon durant trois insupportables tomes: Je me faisais un devoir de finir mes séries. On ne m'y reprendra plus.

C'est donc une suite longue de sentiments compliqués entre ados immatures, toutes invités - pas prisonnières - d'un château doré, dorlotées et vêtues de robes, à faire exactement ce que les gens d'occupation Double savent si bien faire: jouer les allumeuses/allumeurs et créer de la "bisbille". Ni plus, ni moins. Une incroyable perte de temps et une claque au visage de la féminité et de l'amour.

Vous aimez les princesses vraiment fortes et modernes, je vous suggère la série "Chroniques lunaires" de M.Meyer.
Vous aimez les réécritures de contes? Je vous suggère la série"L'école du bien et du mal" de S. Chainani et D'or et d'oreillers, de F.Vesco.
Et finalement, pour une vraie dystopie captivante:la série "Le Passeur", de L.Lowry et les classiques de la littérature adulte, qui ont au moins le bon goût de nous épargner des romances de collégiennes en pleine dictature.
Commenter  J’apprécie          1515
"90 % de la littérature Young Adult, c'est de la merde. " C'est la dernière pique d'Anthony McGowan durant le festival d'Edimburg.
Franchement, on se dit qu'il exagère …. Nomého c'est même pas vrai, le YA c'est génial ! Et puis on tombe sur des romans comme la sélection de Kiera Cass, insipide sur tous les plans… l'histoire, le style, les personnages … Rien pour sauver le livre. du coup, je me suis forcée à lire les 3 premiers chapitres et puis après j'ai lu au hasard … un paragraphe tous les cinq chapitres juste pour rigoler et c'est tellement mauvais et prévisible qu'on continue à suivre. de la merde à 100% !
Et pourtant, cette série a eu tellement de succès. Les voies du best-seller sont impénétrables !
Commenter  J’apprécie          153
Gentil, facile, prévisible, manque de profondeur sur des aspects politiques qui ne sont qu'effleurés, personnages peu attachants, manque de rebondissements, de surprise. On a effectivement vraiment l'impression d'être devant un sous Hunger Games, notamment à cause de cette idée de télé réalité. Notons tout de même que pour une dystopie, l'ambiance n'est pas très sombre : à aucun moment l'héroïne n'a à craindre pour elle ou pour ses proches. Pour le reste, l'histoire est cousue de fil blanc.
Comme par hasard, la jeune America est belle mais refuse de se l'avouer, se trouvant pleine de défauts. Comme par hasard, elle est sélectionnée pour faire partie du harem du prince, dans lequel celui-ci trouvera celle qui deviendra sa femme, alors qu'elle n'est absolument pas intéressée. Mais cette situation étant accompagnée davantages pour sa famille, elle n'est pas en position de refuser.
Comme par hasard, elle ose être honnête et dire au prince d'aller voir ailleurs si elle y est. Et comme par hasard, au lieu de se fâcher, le prince trouve cela terriblement rafraîchissant.
Comme par hasard, à force de le fréquenter, elle va se rendre compte qu'il n'est pas un si mauvais bougre.
Comme par hasard, un mystérieux danger plane sur le palais et les pousse à se rapprocher.
Comme par hasard, pour clôturer se premier tome d'une trilogie, l'auteur tente de relancer le suspense en faisant revenir l'ancien petit ami d'America, petit ami qui avait rompu avec elle juste avant son départ pour La sélection.
Le boum du genre dystopique fait que les éditeurs se précipitent sur des histoires qui n'en valent pas la peine et lassent ainsi le lecteur. On relit sans cesse les mêmes histoires, de plus en plus mal écrites. Je n'aurais surement pas lu ce titre s'il ne m'était tomber dans les mains sans que je le recherche. de plus jeunes trouveront, je pense, plaisir à cette lecture, mais pour un adulte, aucun intérêt.

Lien : http://nourrituresentoutgenr..
Commenter  J’apprécie          111
La sélection mélange divers genres et aurait tout pour nous séduire. Mais pour moi, la sauce n'a pas pris. Ce livre me fait l'effet d'un brouillon. On a une histoire politique, pas creusée, un principe de bachelor version prince, pas creusé et limite inexpliqué, des personnages finalement stéréotypés et peu profonds. Je me posais trop de questions pendant ma lecture que pour finalement l'apprécier. Sans parler des diverses contradictions qui parsèment le récit. Dommage parce qu'à part ça, ça se lisait tout seul!
Les parallèles avec Hunger Games sont un peu inévitables, mais quand Hunger Games propose une base solide, des personnages forts, et une intrigue passionnante, c'est difficile de se laisser convaincre par ce roman. Je ne pense pas poursuivre l'aventure, malheureusement.
Commenter  J’apprécie          92
Dans un univers futuriste toutes les jeunes filles à marier peuvent se présenter à une sélection en vue de devenir l'épouse du futur héritier de la couronne.

Le début est plutôt pas mal (d'où les deux étoiles), jusqu'à ce qu'America (je me demande s'il y a vraiment des Américaines qui s'appellent America) soit effectivement sélectionnées avec 34 autres candidates et arrive au palais où l'attend le prince, qui bien évidemment se révèle être un beau jeune homme très sympathique, contrairement au sadique sanguinaire qu'elle s'attendait, pleine de haine, à rencontrer.

Zéro originalité, l'univers est raté, les explications sur le sujet vaseuses et peu crédibles et surtout aucune surprise et une avalanche de clichés à faire pâlir 50 shades of Grey de jalousie. Notamment, évidemment, l'éternel triangle amoureux, America est déchirée entre Maxon, le prince gentleman et le sombre Aspen, son ex mec roturier. Les deux sont des caricatures, à tel point qu'on en vient à se ficher comme de la dernière pluie de savoir si elle finira avec l'un ou l'autre.

Le personnage d'America, plutôt attachant au début sombre rapidement dans la stupidité et la niaiserie la plus totale.

Je ne parle même pas des personnages secondaires, à savoir les autres candidates, aux personnalités plus fines qu'une feuille de papier calque, n'étant là que pour faire ressortir le caractère fort (lol), la grandeur d'âme et l'absence de superficialité de notre petite America.

Belle couverture pour faire rêver les princesses, j'avoue m'y être laissée prendre, mais je ne lirai pas la suite.
Commenter  J’apprécie          80
Pour résumer rapidement l'histoire :
On suit la vie de la jeune America Singer (une américaine qui est chanteuse, bravo pour l'imagination) qui participe à La Sélection.
Qu'est-ce que c'est ?
Il s'agit tout bêtement d'une émission de télé-réalité ayant pour but de trouver au prince héritier du royaume (parce que ça se passe dans le futur, dans un monde qui se prétend dystopique [je recherche encore la dystopie, elle est actuellement aux abonnés absents, mais bref] où les États-Unis sont devenus un royaume [c'est peut-être ça la dystopie ?]. En bref, il s'agit d'un genre de Bachelor tiré par les cheveux, où 35 jeunes filles à l'intelligence limitée se crêpent le chignon pour avoir les faveurs du prince très peu charismatique nommé Maxon (oui, tous les personnages ont des noms ridicules [c'est peut-être dû à la prétendue dimension dystopique ?]) qui les éliminent au fur et à mesure jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'une qui deviendra la princesse, et donc la future reine du royaume par la même occasion.

Je suis d'avis que cette histoire est excessivement niaise. En plus, il s'agit clairement d'un hybride entre Hunger Games (la révolte, la dystopie, l'intelligence et l'émotion en moins) et l'émission Bachelor, le tout saupoudré de sexisme. On adore (ironie).
L'image de la femme est tout particulièrement dégueulasse : c'est à celle qui sera la plus superficielle possible pour plaire au prince et remporter son titre et son argent. Génial.
De plus, il y a, au départ du premier tome, 35 candidates; à la fin de ce même tome, il n'en reste déjà plus que 6 ! Sachant qu'il y a encore deux tomes derrière, je crains qu'ils soient bien vide.
J'allais oublier de mentionner qu'il y a l'ex d'America, tellement peu important et ridicule que j'ai oublié son prénom, de cette manière on obtient un triangle amoureux America - l'ex - Maxon qui est bien ennuyeux et prévisible. Parce que oui, ça aurait été dommage de ne pas aller VRAIMENT dans les bons gros clichés de romans d'amour à l'eau de rose.

Bref, une lecture affreuse pour moi, je n'achèterai sûrement pas le tome 2.
Commenter  J’apprécie          70
L'histoire et la couv de ce livre m'avait beaucoup plu lorsque je l'avais commandé sur amazon.
Toutefois, j'ai été très déçue...
L'histoire est beaucoup moins complexe qu'elle n'y parait. Les élements de vie dystopie sont éffleurés, survolés, voir pas du tout abordés. le scénario est très centré sur la sélection des candidates pour conquérir le coeur du prince et cela s'apparente plutôt à une mauvaise téléréalité de type "le bachelor" qu'autre chose !!!!
Pour conclure, je ne me suis pas du tout sentie transporté dans un monde dystopique ou même de science fiction.
Commenter  J’apprécie          70
Commenter  J’apprécie          60
Je m'attendais à trouver une dystopie et je tombe sur une romance comme je ne l'es supporte pas. Dans un pays où la population est divisée en castes, 35 jeunes filles sont sélectionnées pour participer à une vaste émission de télé réalité durant laquelle elles devront faire leurs preuves pour séduire le prince Maxon et devenir reine.
L'héroïne, America Singer (qui chante très bien évidement) participe davantage pour la compensation financière que touchera sa famille que pour devenir reine. Mais (évidemment) elle se laisse peu à peu séduire par le prince.
Bref un roman sans grand intérêt, qui se lit bien cependant, mais prévisible, avec des personnages caricaturaux et une histoire assez inintéressante dans lequel le monde dystopique n'est qu'un décor pour une romance fade.
Commenter  J’apprécie          62
Histoire de compenser les avis dithyrambiques, je donne le mien on sera peut être quelques uns à s'y retrouver.
J'ai trouvé ce roman absolument nul. Cette dystopie a la sauce bachelor n'a aucun intérêt. Les personnages sont fades et inintéressants, voire balourds (le Prince). La méchante a comme pire action du livre de... déchirer la manche d'une robe de sa rivale ouhlala! La dystopie aurait pu être intéressante mais est mise de côté pour privilégier une romance niaise. Impossible de croire à cet univers futuriste où l'on semble avoir plutôt fait un bon en arrière avec ce système de castes.
L'avantage il se lit tres vite et la couverture est belle, mais c'est bien peu.
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (16927) Voir plus



Quiz Voir plus

La Sélection tome 1 de Kiera Cass

Quel est le nom de famille d'America ?

Sanger
Leger
Il n'est pas mentionné
Singer

7 questions
965 lecteurs ont répondu
Thème : La Sélection, tome 1 de Kiera CassCréer un quiz sur ce livre

{* *}