Vu ce à quoi je m'attendais (le résumé en anglais n'était pas très alléchant), je suis agréablement surprise. On découvre avec le personnage principal des facettes de la situation au Salvador pendant la guerre civile. L'histoire commence lentement et sur un prétexte bizarre, une douleur au ventre. On trouve au début le style de répétitions qui semble caractériser l'image que les auteurs d'Amérique latine ont de troubles émotionnels. Ca s'arrête heureusement très vite, à mesure que le personnage devient plus intéressant.
Malheureusement, la fin du roman a pour moi été d'un ennui profond. Au lieu d'atteindre le dénouement promis par les péripéties du récit, révélées par les souvenirs retrouvés du personnage, on se retrouve avec le type antipathique du début de l'histoire. Tout ça pour ça...
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